La vie de Marianne, Marivaux, 1731
Commentaire de texte : La vie de Marianne, Marivaux, 1731. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dlnna • 19 Octobre 2022 • Commentaire de texte • 944 Mots (4 Pages) • 396 Vues
Cette œuvre que nous avons à étudier est un lien direct avec la princesse de Clèves où l’éducation des femmes et de leurs comportements en société sont très importante même si dans cet extrait nous ne savon spas si Marianne a reçu la même éducation que la princesse de Clèves. Cet écrit est une œuvre du libertinage où le principal but et de séduire tout en manipulant les autres. La vie de Marianne écrit par Marivaux en 1731, Marivaux est un dramaturge qui a écrit notamment le jeu de l’amour et du hasard. Cet œuvre nous raconte la vie de Marianne devenu comtesse, elle raconte dans une lettre à son amie qu’elle a été séduite par les regards d’un jeune homme à l’église. En quoi cette rencontre est une scène amoureuse théâtrale ? Dans un premier temps nous allons de la rencontre amoureuse des deux personnages puis dans un second temps de leurs première rencontre digne d’une scène de théâtre.
Dans un premier temps parlons de la séduction des deux personnages par le regard, Marianne ne connaissant peut à l’amour « apparemment que l’amour, la première qu’on en prend, (…) » (L5) que nous pouvons faire l’analogie avec la princesse de Clèves qui a une vertu impressionnante du a l’éducation de sa mère mais ne connaissant pas grand-chose à l’amour elle demande souvent conseil a sa mère où la princesse vient à appliquer en permanence ses conseils et ne choisit pas d’elle-même. La structure narrative de ce texte, typique de la lettre, nous plonges dans les sentiments qu’éprouve Marianne face a ce jeune homme en effet comme elle raconter ce qu’elle a vécu lors cette cérémonie a son amie on aperçoit beaucoup plus ses sentiments. Marianne qui aime plaire et séduire vient à changer de comportement lors des échanges de regard avec cet homme, grâce à cette antithèse nous comprenons que son amour vient s’opposer à la séduction qu’elle a avec d’autre jeune homme : « la douceur d’aimer interrompt celui d’être aimable » (L6). D’après ce que l’on comprend l’amour que l’on aperçoit vient dans les deux sens, « les autres applaudissait ouvertement à mes charmes, il me semblait que celui-ci les sentait » (L9) elle a l’impression que cet homme ressent les mêmes choses qu’elle au niveau de ses sentiments : cette citation est constituée de deux verbes conjugués à l’imparfait : l’imparfait, dans un récit au passé, sert souvent à décrire des personnages ou des lieux
Pour continuer parlons des ressenties de la comtesse, la narratrice n’en vient jamais à d’écrire le jeune homme, elle ne connait pas son nom ni son rang social mais elle en éprouve des sentiments. Marianne qui aime plaire, attirait beaucoup les regards sur elle mais un l’attire beaucoup plus celui d’un jeune homme, c’est pourquoi malgré la foule qu’il y avait autour d’elle un lui retient de l’attention « sur qui mes yeux tombaient plus volontiers que les autres » (L2), malgré tous les jeunes hommes qu’ils peuvent y avoir elle ne remarque que lui et lui seul. Elle ne donne aucune explication pour nous parler de ce qu’elle ressent à la vue de ce jeune homme. D’après elle l’homme la regarde d’une façon dont les autres hommes n’ont pas l’habitude de la regarder « ce jeune homme à son tour, m’examinait d’une façon toute différente de celle des autres » (L7) , cette citation constitue de périphrase « ce jeune homme » pour garder à l’esprit qu’elle ne lui a jamais adressé la parole, est aussi une phrase simple.
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