La poésie

        Pour débuter nous définirons ce qu’est la poésie. La poésie vient du verbe grec “poiein”, soit “créer”. De ce berbe, “poiesiss” en est issu, qui se traduirait lui, par l’art de language. On pourrait la comparer à un sculpteur qui façonnerait sa pierre, tel le poète façonne ses mots. En effet, la poésie possède son propre corps plastique. On peut prendre pour exmeple les sonnet ou bien encore la ballade et le lai. La poésie, c’est l’art du travail sur le langage. Les mots que le poéte va utiliser seront donc denses et avec un sens profond. Assurément, les mots sont utilisés dans leurs sens propre comme figuré. La poésie va donc dégager une certaine musicalité, en jouant sur les sonorités. Enfin, nous définirons le lyrisme. Issu de la lyre d’Orphée, l’instrument devenu culte, avec lequel il enchante ses auditeurs et ses prétendantes à la manière du poéte.  Le lyrisme est donc l’expression des sentiments. Il a son versant sombre : l’élégie. Il s’agit de l’expression de sa peine et de ses moeurs. En conclusion nous pouvons affirmer que l’élégie est l’expression de tous les sentiments. Nous en venons enfin à notre grande question : “La poésie est-elle seulement l’expression des sentiments personnels ?”. Tout d’abord, cette question nous laisse conjecturer que la poésie à d’autres fonctions. On peut donc à partir de cela, reformuler notre question et emmetre notre problématique : “Quelles sont les autres fonctions de la poésie. Nous étudierons cette question en deux parties : l’expression des sentiments dans la poésie et la poésie engagée.

        Commençons par affirmer que la fonction principale de la poésie serait l’expression des sentiments. On les retrouve par ailleurs dans le registre lyrique.

        Le lyrisme joue un rôle crucial dans la poésie, il permet l’expression de tout ses sentiments. On peut observer le lyrisme grace à différentes propriétés : l’omniprésence de la 1ere personne. On peut prendre pour exemple le vers très célèbre de Philippe Jacotet dans son oeuvre petit jour: “L’alouette jaillie au chmap […] Je vois s’ouvrir et s’entêter la beauté de la terre”. On peur remarquer ici la présence du “je” lyrique. Enfin, l’alouette, est assimilée à l’oiseau du petit jour. On pourrait le comparer au “nightingale” , soit le “rossignol” présent dans Roméo et Juliette, de Sheakspeare. De plus, P. Jacottet va exprimer ses joies et ses peines à travers l’adresse lyrque : présence du “Tu”. On peut illustrer nos propos avec un autre vers de son oeuvre : “Tu es le feu naissant ou les froides rivières”. Le poète, va ici célébrer l’être qu’il aime et qu’il chéri tant. Dans ce vers, on peut relever une une antithèse, opposant “feu” et “froide”. Enfin, P. Jacottet va utiliser une métaphore, comparant son amour au feu. On en vient donc à rappeller la métaphore galante connue de tous. Pour conclure, on peut se référer à d’autres poètes(se). Louise Labbé, va utiliser le sonnet des antithèses qui tente d’exprimer les sensations provoquées par la passion amoureuse. Ou bine encore Hélourad qui célèbre la beauté de la poésié, et chantera l’amour ainsi ce qui peut embellir le monde

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