La Princesse de Clèves, extrait sur la rencontre avec le Prince de Clèves
Fiche de lecture : La Princesse de Clèves, extrait sur la rencontre avec le Prince de Clèves. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Anto Buch • 8 Février 2020 • Fiche de lecture • 549 Mots (3 Pages) • 2 287 Vues
INTRO :
L’extrait de Texte qui est soumis à notre étude est «La rencontre des futurs époux» de Madame de Lafayette, Cet extrait est issu de la première partie de son livre «La Princesse de Clèves» publié en 1678. Alors que Mademoiselle de Charte se rend le lendemain de son arrivé à la cour assortir des bijoux chez un Italien, elle rencontre le prince de Clèves.
PLAN DU TEXTE :
Pour répondre à la problématique, je vais étudier la composition du moment entre l’arrivé du Prince de Clèves dans la bijouterie ayant aperçu Mademoiselle de Chartres et le départ de Mademoiselle Chartres.
EXPLICATION :
- Tout d’abord, l’auteur plante le décor, par une indication temporelle, cet extrait se situe «Le lendemain qu’elle fut arrivée». L’univers décrit «Chez un Italien» devient une sorte de prolongement de la cour par la narration du lien entre l’Italien et la Reine «Cet homme était venu de Florence avec la Reine» et c’est un espace lié à la richesse car sa «maison paraissait plutôt celle d’un grand seigneur, que d’un marchand». Mais ce décors devient surtout un lieu plus privé propice à une rencontre.
La phrase «Comme elle y était» est une proposition subordonnée circonstancielle de temps et «Le prince de Clèves y arriva» qui est la proposition principale devient une explication à la mise en présence des deux protagonistes car l’action de la principale dépend de l’action de la subordonnée. L’isolexisme du mot «surpris» montre l’effet de la beauté de mademoiselle de Chartres sur le prince de Clèves qui le fait perdre sa retenue, en effet «il ne put cacher sa surprise» montre qu’il est dominé par ses émotions ce qui est une transgression des règles sociales et galantes de l’époque. Il y a un parallélisme de construction entre cette phrase et la suivante, car maintenant on va voir l’effet de la vision du Prince sur mademoiselle de Chartres «Elle ne put s’empêcher de rougir en voyant l’étonnement qu’elle lui avait donné» contrairement au prince, elle réagit conformément aux usages malgré le trouble face à la réaction du prince elle garde le contrôle puisqu’«elle se remit néanmoins» et adapte son caractère «que la civilité lui devait donner pour un homme tel qu’il paraissait» car elle garde un certains discernement. Le prince de Clèves, lui reste dans l’imparfait «regardait» ou «pouvait» ce qui traduit l’effet sur lui qu’a la beauté de Madame de Chartres qui perdurent, ce qui crée un manque de discernement «Il ne pouvait comprendre qui était cette belle personne». On a la sensation que le prince, tellement il est surpris, en oublie les civilités dû à son rang est doit la fixer car il y a une accumulation de verbe à l’imparfait et qu’«il la regardait toujours avec étonnement», ainsi cette fille devient un objet de convoitise. Mais de par sa maladresse, causé par sa passion, le prince de Clèves devient «cause qu’elle avait de l’impatience de s’en aller». Cette scène de rencontre est vaine puisque il n’a pas eu de franchissement de la part des deux protagoniste puisque le prince de Clèves de par sa passion trop forte fut la cause de la fuit de mademoiselle de Chartres
puisqu’ «elle sortit assez
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