Internet cas

Internet est devenu le premier vecteur de communication entre les individus. Aujourd’hui, dès que nous avons besoin d’une information, on va le chercher sur internet. Les informations communiquées sont-elles toujours fiables ? Le premier document est un texte d’Ignacio Romanet, « la tyrannie des communications »qui nous explique que n’importe qui peut être journaliste. Le document 2 d’Arnaud Mercier « les médias pris au dépourvu », la vie, 2002 nous montre que la liberté de la presse et de l’information restent à conquérir. L’interview d’Andrew Keen par frédéric Passel, Libération, 2007, nous ouvre les yeux sur l’univers d’internet. L’extrait d’un article du site article R.org nous parlera du développement de la technologie et ses effets sur la communication. Dans un premier temps, nous parlerons de l’évolution de la technologie et qu’elle a permis au niveau de la communication. Dans une deuxième partie, nous parlerons du journalisme. Pour finir, nous verrons ce qu’est devenu internet à cause de l’amateurisme.

Les progrès technologiques favorisent le développement des équipements permettant la pratique des médias et des loisirs. Mais aussi, elle crée de nouvelles opportunités pour la liberté d’expression et de la liberté d’information. Avant, on recevait les informations dans les journaux, les livres, le bouche à oreille…

Aujourd’hui, grâce à internet, l’information est accessible plus facilement. Le fait que tout le monde peut utiliser internet, on y trouve n’importe quoi. D’après l’extrait d’un article du site « article R.org », les entreprises et les industriels peuvent publier n’importe quel contenu… Ils peuvent les diffuser directement sur des ordinateurs et les appareils mobiles dans le monde entier. Des informations qui étaient difficiles d’accès ne le sont plus aujourd’hui. Toujours d’après l’article du site « article.org », les agressions contre les manifestants NEDA AGHA-SOLTAN en Iran ou IAN TOMLINSON au Royaume Uni aurait pu être ignoré si elle n’avait pas été diffusée sur les nouveaux médias. Toutefois les moyens de communication et d’information ont parfois servi à pousser les gens à faire des choses affreuses. Dans le texte 2, Arnaud Mercier, « les médias pris au dépourvu » nous cite l’exemple du Rwanda « la radio – télévision libre des milles collines à largement participé au génocide conduit par les extrémistes Hutus contre les Tutsis. »

D’après Ignacio Ramonet «  la tyrannie des communications », le fait que n’importe qui vaut un journaliste ; signe la ruine du véritable journalisme d’enquête. Grâce aux téléphones portables, tablettes…etc lorsqu’il y a un accident, une catastrophe. Lorsqu’un catastrophe, un accident a eu lieu, la radio ou la télévision prendra contact avec quelqu’un qui était sur place et lui posa les questions qu’il veut. Il est considéré comme un témoin.

Les informations sur le coût ne sont pas sûres, le journaliste doit donner ses premières impressions des faits arrivés sur les lieux. Il n’a pas le temps de mener une enquête approfondie. Toutefois, il y a certaines informations que les journalistes ne peuvent pas dévoiler de peur de choquer ou de dévoiler des choses. Les journalistes ne peuvent pas aller partout. Selon le texte d’Arnaud Mercier « les journalistes sont alors interdits ou même exécutés. C’est toujours le cas en Tchétchénie ou en Algérie. »

Andrew Keen a publié début juin un brûlot « the cult of amateur ». Il nous éclaire : comment internet tue notre culture. Il n’a rien contre la technologie mais trouve qu’il y a de plus en plus de sottises écrit sur internet. Vu que tout le monde poste tout ce qu’ils veulent sur le net, selon lui, cela favorise l’idéologie de l’amateurisme.

« internet rassemble à l’état de nature, plus proche de Hobbes que de Rousseau, ou le comportement humain s’épanouit sans règle sociale, ni loi ».

Aujourd’hui, sur le net, on trouve de tout, plagia, pornographie…youtube, facebook, ne pensent qu’à leur bénéfice. Tout le monde s’exprime, du coup, il y a une multitude d’informations des vraies et des fausses. Le ??? 20 est entrain de tuer notre culture.

...