Devoir en classe sur Montaigne et La Fontaine - anlyse complete sur les thèmes et les oeuvres
Commentaire d'oeuvre : Devoir en classe sur Montaigne et La Fontaine - anlyse complete sur les thèmes et les oeuvres. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Martina Furnari • 21 Janvier 2019 • Commentaire d'oeuvre • 1 826 Mots (8 Pages) • 552 Vues
Devoir en classe sur montaigne et la fontaine
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- VIE
Enfance & etudes
Montaigne naît en 1533 au château de Montaigne, vaste domaine appartenant à son père. Son education était humaniste et liberal et comprendait la musique, la latin et le grec. Il avait familiarité avec la pensée antique. Après ses études secondaires il suit des études de droit
vie politique
Sa vie publique commence à 21 ans comme conseilleur à la cour de Perignex puis il suit au Parlement de Bordeaux. En 1558 il se lie d’amitié avec Etienne de la Boétie (ècrivain) qui lui fait découvrir la phylosphie stoïcienne. La Fontaine éditera les oeuvres de l’ami mort par maladie à 33 ans.
Ecriture & charge COMME MAIRE
Ensuite les fonctions au Parlement lui pèsent trop et à 38 ans il se consacre à l’écriture et à la lecture. En 1571 il commence la redaction des “Essais” et en 1580 il pubblique les Livres I et II. Entre les années 1580-1585 il fait un tour d’Europe à cheval et les observations accumulées nourissent les “Essais”. Pendant le sejour à Lucques il apprend qu’il avait été nommé maire à Bordeaux. Il assume le difficil charge, dans la périod des guerres de religion.
Dernieres annees
Montaigne consacre ses dernières années à la relecture de ses oeuvres qu’il enrichit et en 1588 il concluit les “Essais” avec le Livre III. En 1592 Montaigne meurt. Les ajouts seront publiés post-mortem.
- les essais – La dEmarche
homme dans les essais
“Les Essais” c’est une oeuvre écrit pendant la pèriode de la Renaissance, ou l’homme était objet d’analyse. L’homme est décrit comme un être de misère et vanité qui se precipit à l’action et il se concentre à l’exterieur. Le commandement/l’appelle fait par le dieu de l’Horacle de Delphi est de se regarder, connaître profondement avant de nous perdre.
ESsEYER
Dans les “Essais” Montaigne ne formule pas une opinion, n’arrive pas à un concept mais il essaie (sign. du titre) d’éprouver/expliquer la manière dans laquelle les idées se forment chez l’homme. Après lui, les idées naissent des passions.
Image du gue
L’image du Gué nous montre la position de l’homme face à la vie selon Montaigne. Il nous dit qu’il fait toujour, pour detenir à une conneissance profonde de nous mêmês, èvaluer notres capacitès et accepter nos limits. En les acceptant on vit de manière plus serene.
- IDEES FORTES
LES SOUCIS
Montaigne tent un souci de justice. Comme l’amitié veritable est une utopie il faudrait que les relations soient les moins unjustes possible.
Son deuxième soucis est la paix. En considerant le context des guerres de religion, Montaigne affirme que les conventions sociales/les habitudes ont pris le déssous sur la spontaneité, la franchise des relations humaines.
La sincerite qui apporte la paix
D’après lui les mensonges n’ont plus une dimensione privée entre deux individus mais en mentissant on mine la confiance publique. On dissout des liens sociaux.
Il y a une condition de paix paisible quand deux individus sont sincères les uns en face des autres, donc quand on est honnêtes sans philtres. Mais pour l’homme n’est pas facile cette condition: c’est difficile faire des critiques car on n’a pas le courage de les supporter. C’est pourquoi l’homme est lâché, trop tendre pour protéger l’autre et lui même.
L’homme sincere est celui qui est prêt à porter paix entre la gente en recherchant un affront loyal, il n’est pas hypocrite.
Le conflit c’est inevitable. La raison c’est que d’abord les hommes ne sont pas des être unis, mais plaines de contradditions/désirs.
La finalite
Montaigne nous dit que pour respecter l’imperatif initial, connaître nous même, il faut nécessairement reconnaître nôtres limitations et puis adopter une forme de souplesse de nous-mêmes : nous nous devons accepter pour comme nous sommes. En étant rigides nous ne pouvons pas comprendre l’encourance des autres. Il ne faut pas être vertueux par force, or être ce que c’est bien or mal). Ceci sera possible seulement avec la reconnaissance de nos « plis » qui sont les influences à qui nous sommes soumis/adaptés (en dépendant à notre société). Il faut pas être trop exigeant avec soi-même et il est mieux être prêt à los imprévus, pour composer avec la vie contingent.
- Conservatisme de montaigne
La tradition
Montaigne est considéré contre-courant/révolutionner en concernant ses idées sur l’origine de nos valeurs. En même temps il est conservateur quand il s’agit de politique. D’après lui on doit pas confuter l’existence de Dieu, en acceptant qu’il existe : mettre son image en question serait une manière d’introduir le désordre. Selon l’écrivain l’origine des guerres sociaux et civils se reconduit à la raison qu’ils croient de détenir : n’importe pas si elle fût bien or mal mais il faut pas apporter le danger d’un changement institutionnel.
roi philippe
Montaigne nous présent l’exemple du Roi Philippe de Macédoine dans l’essai « De la Vanité ». Le roi avait constitué une ville où étaient réunis tous les criminels condamnés de son royaume. La société formée entre eux s’était naturellement établie : pour ça l’écrivain pense il n’y a pas des différences avec les autres sociétés. Elle n’était ni pire ni meilleure.
- DE L’AMITIE
L’essaie « De L’amitié » qui compose le chapitre 17 des « Essais » c’est un dialogue adressé à Etienne la Boétie, le meilleur ami de Montaigne. La réflexion contenu expresse une nécessité de connaître nous-même et le souci d’expliquer ce qui caractérise l’amitié.
Defintion de l’amitie
L’amitié pour Montaigne n’est pas une affection filiale, un lien : c’est une union du libre arbitre et nécessité du cœur. Au même temps il y a une conception différente entre amitié et amour : la différence est caractérisée par la nature du désir. D’un côté, l’amour a un fin corporel et il est sujet à la satiété : le désir amoureux s’estompe quand il est satisfait et ainsi nous porte à être ennuies. D’autre côté l’amitié n’a autre fin qu’elle-même. Elle est totalement désintéressée en étant pas soumise aux diktats du corps.
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