Devoir 1 de francais CNED
Dissertation : Devoir 1 de francais CNED. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar albane1.marion • 18 Février 2017 • Dissertation • 1 277 Mots (6 Pages) • 3 316 Vues
Vos coordonnées Nom : Marion Prénom : Albane Adresse : 68 Hillside Avenue - Chatham NJ Code postal : 07928 Pays pour l'étranger : Etats Unis |
Références du devoir Indicatif : 260 - 60 - 0154 - 3 Matière : Français onde Code de la matière : FR20 N° du devoir : Devoir n1 (tel qu’il figure dans le fascicule devoirs) Pour les devoirs de langues étrangères, |
Double-cliquez dans les zones bleues pour saisir les différentes informations demandées puis commencez à saisir votre devoir en page 2.
Nom du professeur correcteur : NOTE : Observations générales du correcteur : |
Commencez à saisir votre devoir ci-dessous :
Introduction
Le roman Une Vie, parut en 1883, de Guy de Maupassant pendant le mouvement de réalisme. Il est alors un roman du genre réaliste. Ce roman est un roman psychologique, ou Maupassant décrit le comportement des personnage au moment du XIX siècle. Il décrit le comportement de la femme pendant l’accouchement de Louise, le personnage principal.
Avec beaucoup de détails qui viennent du texte, nous déduisons que cet extrait raconte un accouchement très douloureux, que Jeanne Le Pertuis des Vauds, femme de Julien de Lamarre surmonte. Cet extrait est très descriptif.
Nous montrerons dans un premier temps l’importance des choix de mots que Maupassant choisit d’inclure dans son texte, et comment cela montre que cet accouchement est très réaliste. Puis nous montrerons différents point de vues adoptés dans l’extrait, par différents personnages qui assistent à l’accouchement.
Paragraphe A de l’axe 1 - Des souffrances insurmontables
En effet, dans l’extrait, Jeanne surmonte vraiment des douleurs insurmontables et inhumaines et le lecteur peut aussi deviner l'atrocité de ces douleurs. Jeanne est dans un état presque inanimé et plusieurs fois pense que elle même va mourir, ou elle le souhaite “ Je vais mourir. Je meurs!” ( l. 18 ) Cette phrase dite par Jeanne montre que la douleur qu'elle est en train de sentir est vraiment infranchissable. Plusieurs mots comme “ violente” ou “convulsion effroyable” montrent aux lecteurs que cette scene est tres réaliste. Ces mots montre le champ lexical de la violence, et nous voyons que ce sont des mots très forts qui montrent l'intensité de la douleur de l’accouchement. D’autres mots qui montrent l'intensité sont “cruels”, “spasme” ou “exaspérée”. Toutes ces souffrances sont insurmontables, et plusieurs fois, Jeanne oublie son existence tellement elle souffre. A l'époque ou ce texte est paru, les accouchements étaient vraiment douloureux, car ils n’y avaient aucun médicaments pour apaiser le mal-être que la mère surmonte.
Paragraphe A de l’axe 2- La trahison de Rosalie
Dans cette extrait, le personnage principal, Jeanne a une grande haine contre Rosalie, la maîtresse de son mari. Rosalie et son mari ont aussi eu un enfant ensemble, mais l’accouchement pour Rosalie c’est très bien passé, sans douleurs. Quand Jeanne surmonte les douleurs atroces de son accouchement, elle en veut beaucoup à Rosalie. Pendant l’accouchement, Jeanne pense sans cesse à Rosalie qui elle “ n’avaient point souffert, qui n’avaient presque pas gémi, dont l’enfant , l’enfant bâtard, était sorti sans peine et sans tortures.” ( l. 3 + 4 ) Dans un cas, cela est une trahison, car normalement Rosalie aurait dû souffrir, c'était elle qui avait comme une ânerie. Au fond d’elle, Rosalie est jalouse, “pensait sans cesse à Rosalie qui n’avait point souffert, qui n’avait presque pas gemie ”. Pour Louise, c'était injuste car, son mari avait d’abord choisi Rosalie pour avoir un enfant, au lieu de sa femme, Louise.
...