Correction "qui suis-je ou puis-je me connaitre"
Étude de cas : Correction "qui suis-je ou puis-je me connaitre". Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Vea Valencia • 7 Février 2019 • Étude de cas • 532 Mots (3 Pages) • 697 Vues
Qui suis-je ou puis-je me connaître ?
Le Deuxième Sexe, Simone de Beauvoir
« On existe par la médiation de l’autre » :
On existe que car je suis en contact avec les autres, d’être reconnu, de structurer notre identité (théorie de l’existentialisme)
Fille / Garçon sont égaux à la naissance arriver à la puberté, ils sont animés de désir.
Elle dénonce un conditionnement dont les femmes seraient victimes.
Dans quelle mesure, serait-on nous-même même si on est conditionné (sachant que cela existe depuis la naissance avec les jeux, vêtements) ?
Elle n’a pas contrôle sur sa vocation, sur sa vie.
Comment puis-je me connaître ? Simone de Beauvoir laisse entendre que la vie d’une femme est prédéterminée et qu’elle est entretenue par la société. La femme n’est pas libre. Beauvoir va être à l’origine du féminisme dans les années 50.
On existe au travers du regard de l’autre et grâce à lui.
Deuxième Méditation Métaphysique, René Descartes
Pour Descartes, ce qui définit un être humain est ses pensées
La connaissance commence par les 5 sens
Il y a un être qui pense ce qui explique les sensations
Comment puis-je me connaître ? Descartes pense que c’est par le doute méthodique, c’est la remise en question systématique de ce qui a été appris, on va faire table rase de ce qui a été acquis pour reprendre tout à zéro.
Ensuite, c’est par la pensée que j’accède à la connaissance de moi-même et pour me connaitre je n’ai pas besoin d’autrui, mais j’ai besoin d’une conscience qui pense.
« Se connaitre par le billet des sens, donc l’EXPÉRIENCE. »
L’Être et le Néant, Jean Paul Sartre
Si on part du principe qu’on a un libre arbitre, on rejette le conditionnement.
Si Dieu n’existe pas, il n’y a pas de vie après la mort.
On se doit d’être plus responsable de son existence, si on croit en l’existence de Dieu.
Il invite les hommes à s’engager
Pour Sartre, ce qui est important est l’engagement vis-à-vis des autres, et ceux qui refusent sont nommés « les salops »
1er paragraphe
« Ce tiers, irréalisable, est simplement l’objet du concept limite d’altérité » :
On ne peut pas exister sans l’intervention d’autrui, car il permet de me définir.
Il crée l’altérité qui me permet de voir ma différence.
2ème paragraphe
Qu’est-ce
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