Corpus de quatres textes

Sujet d'invention: Imaginez qu'une jeune fille de nos jours se trouve dans une situation affective inextricable à cause d'un conflit et qu'elle exprime sa fureur à un autre personnage.

Roxane. -Toi ! L'homme qui m'a élevée pendant toutes ces années avec tant d'affection !

Toi ! En qui j'avais une entière confiance !

Toi ! Qui m'a promis une vie heureuse et lumineuse !

Pourquoi ce changement soudain et incompréhensible ?

Je suis arrivée, hier, à la maison en pensant t'annoncer une bonne nouvelle puisqu'il s'agissait de mon amour, mais ta réaction a détruit mes moments de joie et de bonheur !

Ces moments merveilleux, tu les as transformés en colère !

Pourquoi devrais-je subir un sort semblable au tien ?

(Hors d'elle même)

Honte à toi ! Priver ta propre fille du bonheur aue tu n'as jamais recu !

Malheur ! C'est tes parents qui t'ont marié !

Et avec qui ? Avec la fille de cette famille de grande bourgeoisie !

Et pour quelle raison ? Pour une simple dot !

Comment l'argent peut-il jouer un rôle plus important que le bonheur de ta fille ?

C'est inacceptable ! Et tu essayes de cacher tes raisons derrière ces prétendues ''valeures'' !

Quel cauchemar, je n'arrive plus à respirer !

As-tu déjà éprouvé les sentiments que je ressens en ce moment ?

Cette haine et ce deséspoir !

Ne comprends-tu pas mon amour pour cet homme ?

Je préfèrerais mourir plutôt que de vivre une vie malheureuse et douloureuse !

Comment peux-tu te marier en sachant que la raison est l'argent et non l'amour ?

C'est pourtant bien toi qui m'avais dit qu'un jour je quitterais cette maison et qu'une nouvelle vie m'attendrait.

Eh bien ! Cette vie qui m'attend se trouve aux côtés de cet homme que tu n'a même pas encore rencontré !

Tu ne lui à même pas encore parler !

Comment peux-tu être si déterminé ?

Qu'a t-il de différent ?

Et nous partageons les mêmes sentiments !

Mais si la seule solution pour que je puisse être avec lui, c'est de partir.

C'est ce que je ferai !

Prends ton temps et réfléchis pendant que je m'en vais.

Et si par malheur, à mon retour, tu n'as toujours pas compris, ne t'attend pas à me revoir !

(La porte d'entrée se referme

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