Commentaire de texte, La peste de Camus
Commentaire de texte : Commentaire de texte, La peste de Camus. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jack Danovy • 30 Novembre 2017 • Commentaire de texte • 1 304 Mots (6 Pages) • 2 141 Vues
Introduction
Amorce :
« La seule chose qui permet au mal de triompher c’est l’ inaction des Homme du bien », Edmund Burk. A travers cette citation Edmund Burk non seulement condamne l’ inaction des Hommes de biens c’est à dire les Etats de ne pas agir face au mal, par exemple les crimes de guerres ou encore génocide. Cette citation honore implicitement l’ action des hommes de bien face au mal, tel que la résistance. Par métaphore avec la seconde guerre mondiale, cette résistance est porter dans la Peste par le docteur Rieux et Tarrou, qui veulent empêcher la propagation de la peste, par analogie, l’ expansion des nazies.
Présentation de l’ auteur :
Albert Camus ets un écrivain français du 20 ème siècle. Il a gagné le prix Nobel de littérature en 1957. La peste est sou ouvrage elle plus célèbre, et le plus traduis dans le monde entiers. La Peste est un roman qui fait partie du cycle de la révolte : La pesât , ‘ L’ Homme révolté et la pièce de théâtre le juste.
Présentation de l’ oeuvre :
La peste un roman de fiction qui retrace des événements qui ce sont produits dans la ville de Oran. Frappé par une épidémie de peste, cette ville à du se couper du reste du monde. Par ailleurs, dans les années 40 il y une réelle épidémie de peste qui à frapper la ville d’ Oran. La peste a été écrit en 1942 et publié en 1947. Dans la fiction de Camus on suit une habitant de la ville qui nous raconte comment la ville a vécu cette isolement pendant des années et les changements qui ce sont produit dus à l’ événement. Le récit est narré de manière chronologique. Au fil du roman on voit apparaître des rats morts et donc ce dessine l’épidemé de la peste.
Présentation de l’ extrait :
L’ extrait que nous allons commenter, se déroule avant que la peste ne soit officiellement reconnus. Il s’ agit d’un débat entre le préfet, Richard et docteur Rieux, pour savoir comment qualifié c’est symptômes auquel à eu à faire le docteur Rieux. Ce dernier défendant l’ idée que peu importe la qualification de cette maladie, il faut la traiter rapidement avant quelle ne « tue la moitié de la ville avant deux mois ».
Enjeux et problématique :
A travers de ce romain, deux éléments s’ opposent le côté fictive que emploi Alberts Camus, mais aussi le côté réaliste avec l’ allégorie faite au nazisme. Ainsi, Comment l’ extrait nous expose la multiplication des genres de roman que embrasse la Peste ?
I Les caractéristiques d’un roman de fiction
A- Oeuvre de fiction
Une fiction est une histoire fondée plus souvent sur des faits imaginaires que sur des faits réels. Le roman de Camus est une fiction car il utilise souvent le registre fantastique, notamment lors de l’ épisode de la mort des rats. Puis, la peste en elle même relève de ce registre car marque une rupture avec la réalité, le quotidien, elle est décrit comme une véritable intrusion surnaturelle dans le quotidien des habitants.
B- La présence du fantastique dans l’extrait
Dans l’ extrait on relève le registre fantastique plissures fois. D’ abords, le cadre inquiétant, de la peur : « la population s’ inquiète » , « le département n’ a pas de sérum pour stopper cette épidémie qui risque de tuer la moitié de la ville », « la question dit brutalement le vieux Castel est de savoir s’il agit de la peste ou non ». Ces termes font penser à une fin du monde, qui nourri le registre fantastique. Camus, emploie aussi le champ lexical de la peur ( « affolement », « dangereuse », « hurlait »).
II Une chronique réaliste
A- Le basculement réaliste de la chronique
D’abord, on retrouve des éléments de la sphère réaliste par l’usage de la chronique. L’ chronique : un recueille de fait historique rédiger en respectant un ordre chronologique. Puis, le lieux où se déroule l’ histoire se rattache aussi à la réalité, car d’ Oran est une véritable ville, département français de la colonie d’ Algérie. De plus, l’ auteur aborde la ville de Paris à la page 50. Par ailleurs le fait que le narrateur est détaché de l’ histoire amplifie ce côté réaliste. In fine, l’ usage des termes médicaux tout au long du roman contribue à ce basculement réaliste de la chronique : « Il s’agit d’une fièvre à caractère typhoïde, mais accompagnée de bubons et de vomissements. J’ai pratiqué l’incision des bubons. J’ai pu ainsi provoquer des analyses où le laboratoire croit reconnaître le bacille trapu de la peste. »
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