Analyse préface Bérénice
Analyse sectorielle : Analyse préface Bérénice. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cughj • 4 Mars 2020 • Analyse sectorielle • 1 405 Mots (6 Pages) • 1 742 Vues
Cloé Curti
DISSERTATION
« Ce n’est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie ; il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. »
Racine, Préface de Bérénice, paru en français en 1670
INTRODUCTION :
Jean Racine est né à La Ferté-Milon, le 22 décembre 1639 et est mort à Paris le 21 avril 1699 c'est un dramaturge et poète français, il était dramaturge et historiographe. Il a eu deux enfants. Il était membre de l'académie française et de l'académie des inscriptions et des belles-lettres.
Il est issu d'une famille notable, cependant il devient orphelin très tôt. Il a eu une éducation littéraire et religieuse rare. Il c'est détourné de sa carrière ecclésiastique, il veut entreprendre un carrière de lettre en privilégiant la poésie et le théâtre tragique.Son genre artistique était la tragédie et la comédie.
Bérénice est une tragédie historique en cinq acte et en vers, la première fois que la pièce à été représentée, c'était le 21 novembre 1670 à l’hôtel de Bourgogne. Nous allons alors répondre à la problématique qui soulève la question de savoir si oui ou non la préface de Bérénice d'après Racine est fondée ou que ce n'est simplement qu'une seule vérité parmi les autres.
Dans une première partie nous pourrons voir si ce que Racine pense est la seule chose qui doit être représentée ou non. Ensuite dans une deuxième partie nous expliquerons si ce ne doit en réalité être l'inverse de ce qu'il pense. Enfin dans une dernière partie nous analyserons c'est deux parties.
Cette définition célèbre pose toutefois davantage de problèmes qu’elle n’en résout. D’abord, les tragédies non sanglantes restent à l’époque, et dans la carrière de Racine lui-même, assez exceptionnelles. Dans cette première partie Racine dit que ce n'est pas une nécessité qu'il y ai du sang, des morts, hors dans une tragédie l’objectif est tous cela, le but premier est de faire ressentir toute l'émotion de la scène sans choqué quels spectateurs que se soit, le sang à l'époque dans une tragédie ne devait jamais apparaître sur scène, tous comme la mort. Cependant les spectateur savait que la personne était morte car les acteurs jouaient le mort, ils étaient au courant du meurtre donc jouaient en connaissance de cause. La mort quand elle avait lieu se déroulait dans les coulisse à proprement dit, c'est à dire que au lieu d'être sur scène la personne qui devait mourir, meurt en coulisse pour qu'elle ne revienne pas jouée sur scène, ainsi les spectateur comprenait quand es acteurs jouait sans le mort. La mort et le sang était tout bonnement interdit sur scène.
Racine dit que l'action suffit d'être grande, les acteurs soient héroïques, que les passions soient excitées et alors pour lui la pièce est réussie, il souhaite que seule ces chose la soit présenté sur scène, pour le thème de la tragédie, qui est pour la manière la plus pur d'exprimer et de véhiculer une émotions, un sentiment.. Une action peut être grande de part sa beauté, de la manière dont-elle est jouée, de la façon qu'elle est perçue. Les acteurs sont héroïques par leurs manière de joué, de parlé, de s'exprimer, de leurs gestuels. La notion de tristesse ne paraît pas trouver de répondant chez les Anciens : les deux émotions tragiques traditionnelles depuis Aristote sont la terreur et la pitié ; la tristesse est une passion de nature très différente. Georges Forestier, qui s’intéresse aux conséquences dramaturgiques de cette substitution, estime que c’est le défaut de violence dans la pièce qui a amené le poète à « inventer ce nouveau concept esthétique ». Il explique que Racine n’a pas poursuivi dans cette voie, et qu’il est bientôt revenu à cette « violence surgie au sein
...