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Analyse linéaire Les caractères, La Bruyère

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Par   •  15 Mai 2021  •  Analyse sectorielle  •  1 597 Mots (7 Pages)  •  1 362 Vues

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Les caractères

La Bruyère est un moraliste français du 17eme siècle. Il est issu d’un milieu bourgeois et c’est après avoir obtenue un rôle de précepteur auprès du duc de bourbon personnage tres important de l’époque qu’il analyse sont entourage et de ces observation née en 1688 les caractères une œuvre composée de Maxim et de portrait ou l’auteur se donne pour but de corriger les hommes de son époque en usant de la caricature.Le texte quel nous allons étudier est composer de 3 extraits de l’ouvrage durant lequel La Bruyère peint le tableau d’une humanité souffrante, divisé.

Nous nous demanderons ici comment La Bruyère à travers un triste tableau de l’humanité montre ses travers afin d’amener son lecteur vers un cheminement moral?

Nous répondrons à cette question en suivants les mouvements du textes ces deniers étant

1:Maxime introduisant la question de la coexistence entre deux classes social

2:Tableau d’une humanité souffrante

3:La bruyère prend partit pour le peuple et condamne les Grand

1: maxime

Le premiere extrait qui constitue a une simple phrase ( lecture) peur etre considéré comme une maxime ou un aphorisme, l’auteur annonces des termes qui reste très vague :

En effet premièrement l’utilisation du pronom impersonnelle « il » qui ne nous donne aucune information sur le point de vue de l’auteur —> s’agit t’il d’un point de vu universel de celui d’un noble ou d’un paysans : peut changer le sens sois un reproche du peuple ou une leçon d’un noble

Le mot « certains » et l’utilisation du pluriel renforce cette incertitude et le flou de cette maxime.

cette phrase qui au vu des derniers élément se rapproche d’une généralité a ici un rôle d’invitation au développement, elle pourrait même faire affaire de phrase d’accroche lançant déjà une réflexion moral sur 3sujet :le bonheur la honte et l’inégalité

2ème partie : Tableau d’une humanité souffrante

 

Le moraliste ici change d’approche si dans le premier mouvement il restait vague il fait ici le contraire et nous plonge dans une hypotypose.

La phrase commence par « l’on voit » qui donne un caractère habituelle et universelle. L’utilisation de on intègre de lecteur a cette vision ne lui en offrent pas d’autre.

Le lecteur se retrouve donc plonger dans un paysage ensoleillé mais par un soleil dure et qui blesse ses les animaux « mal et femelle » qui les « brule » l3 l’ambiance décrite est lourde, pesante.

Ce décors est habite par des «  animaux farouche » ceux ci n’ont rien de remarquable: leur description reste vague seul leur genre est décrit sentiment renforcé par l’utilisation de l’adjectif « certain » qui exprime une indétermination : quantité, identité de ces animaux, les privant de tout individualité il n ‘sexiste seulement en tant que masse . Tout la description est impersonnelle et les fait apparaître comme des personnages de second plan de simple figurants fesant partit de ce décore mais n’aillant pas plus d’importance que les arbre ou le soleil.

Il ne sont pas maître d’eux même puisque « répandu » comme un virus, de la vermine encore ici une masse.

Le discours ici est largement pathétique en effet Ces animaux sont peint sale car « noir » mais aussi « livide pouvant traduire une faible santé » . Il sont « attaché » à la terre puisque c’est leur seul

moyen de subsister, une terre qu’il « fouille » et « remue » avec tout leur pour trouver de quoi subsister.

Une transition se fait alors ligne 5 et le lecteur découvre que la masse animal observe avec tant de mépris est en réalité un regroupement d’ homme.

Cette découverte est progressive et largement dramatique en effet les animaux commence par se révéler capable de parole mais cele ci est décrite comme une « voix articulé » la voie est incompréhensible il ne méprise par le langage = barbare moins qu’un homme : il n’est même pas encore révélé homme et déjà rabaisser.

L’animal poursuit sa transformation en se levant comme un humain puis ressemble a un humain en enfin le connecteur logique « en effet » nous affirme et confirme la dure vérité : ce sont des hommes au meme titre que le lecteur.

ON remarque que La Bruyère fait accéder à l’humanité par le travail, si l’on suit ce raisonnement le peuple serait humain oui mais posséderait même si l’on va jusqu’au bout l’exclusivité de cette humanité.

Si l’humain est découvert sa comparaison a l’animal ne s’arrête pas nous fêtant comprendre qu’il est traité en tant que tel.

°Il se retires dans des tanières habitat dérisoire qui de plus ne leur appartienne pas.

°Leurs alimentation n’est pas meilleurs que celle des cochons de fermes

Tout compte fait le paysans bien qu’étant le plus humain car le plus travailleur est contraint de vivre tels un animal

-Ce traitement dérisoire est mis en parallèle au sévices qu’il rendent tout les jour « au autres hommes »

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