Analyse de texte : "Forêt", les Annales romantiques, Chateaubriant, 1828
Résumé : Analyse de texte : "Forêt", les Annales romantiques, Chateaubriant, 1828. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Chao_s • 24 Février 2021 • Résumé • 357 Mots (2 Pages) • 4 298 Vues
« Forêt » est un poème de jeunesse qui a été publié dans la revue Les Annales romantiques en 1828 par François-René de chateaubriand qui est un écrivain romantique et un homme politique français. Dans ce poème, le poète est romantique.
Dès le premier vers « Forêt silencieuse, aimable solitude, Que j’aime à parcourir votre ombrage ignoré ! » , le poète nous livre son affection pour la nature, il personnifié la foret en précisant qu'elle est « silencieuse ». Il arrive à rester calme car peu de personne vient s'y promener et il affirme cela en utilisant le champs lexical de l’obscurité avec les mots « ombrage », « sombre » ( vers 3), « ombre » ( vers 12). Ce champ lexical sous-entend aussi que c’est un lieu où il se sent protéger et en confiance avec la phrase « je sommeille à l’ombre des ormeaux ! ». Le poète entretient une relation de confiance avec son environnement préférer qui est la nature et plus précisément la forêt. Nous avons aussi le champs lexical de la nature par les mots « arbres, gazons », « fleurs », « ruisseaux » qui reflète l'importance et la correspondance avec l'environnement du poète.
Ensuite, les vers 9-10 met en remarque le désir de la solitude, qui se rapporte au romantisme « Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière Ici, loin des humains », puis son désir d’être avec la nature avec le vers 17-18 « Forêts, dans vos abris gardez mes vœux offerts ! A quel amant jamais serez-vous aussi chères ? ». Le poète considère comme la foret comme un endroit protecteur et qu'il veut être seul avec elle, il éprouve même de la jalousie dans les deux derniers vers « D’autres vous rediront des amours étrangères ; Moi de vos charmes seuls j’entretiens les déserts »
Enfin, on voit avec le vers 13 « Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles ; Ces genêts, ornements d’un sauvage réduit » que le poète comprend le langage secret de la nature. Cette idée est la même que celui de Baudelaire dans « Correspondances ».
En conclusion, Chateaubriand insiste donc dans son poème sur l’utilité de la nature pour atténué sa solitude et ses caractéristiques ce qui est souvent utilisé lors du mouvement littéraire du Romantisme.
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