Analyse de la princesse de montpensier

En 1662, Madame de La Fayette publie le premier romand dans d’analyse qui empreinte les procédés du baroque mais reste tout de même très concise. Dans cet excipit, elle met en scène les troubles passionnels des personnages qui prennent une envergure démesurée entraînant la mort de l’héroïne, accompagnée par un cadre historique. Madame de La Fayette crée une nouvelle historique mais utilise aussi son oeuvre comme mise en garde, en utilisant son vécu pour aide les femmes de son statut.

Avec l’aide de quels procédés à la fin du roman, le cadre historique influence-t-il l’intrigue amoureuse dans le dénouement de l’histoire?

Au début, en quoi le cadre historique permet l’avancement de l’intrigue puis en quoi les passions entretiennent un lien fort avec la mort et ainsi le dénouement qui révolutionne le genre littéraire.

l’excipit se déroule durant la Saint Barthélémy, qui est l’extermination des protestants à Paris puis qui se manifestera dans la France entière. L’auteur nous représente cette guerre comme étant atroce et meurtrière avec une utilisation des champs lexicaux de l’horreur et de la violence. Les termes étant : «le massacrèrent »L476, « sa douleur »L473; « pitoyable »L479 rappellent que la nuit de la Saint Barthélemy fut l’une des guerres « saintes » les plus violente de France durant ce siècle. Cette guerre, qui s’est vraiment produite, causera la mort de Chabanes, qui s’est fait accuser à tord et s’est fait chassé du royaume du Prince de Montpensier. On peut remarquer que la nuit est très peu décrite et donne l’impression qu’elle est écourtée ou mise de coté à cause de la brièveté et la soudaineté des événements. Elle emploie des hyperboles, qui sont plus ou moins justifiables  par l’événement et des marqueurs de temps comme ; « Deux jours après »L470, « le matin »L 477 et « cette même nuit »L476. Ces procédés resserrent le rythme et le temps de l’histoire qui rappelle celui d’une tragédie ou d’un roman tragique, qui ont pour facultés d’avoir un rythme très saccadés ou rapides, et elle emploie de manière moins fréquente les périodes. Le récit relate l’intrigue amoureuse et l’histoire. En effet, l’état de la princesse suit exclusivement les tournures des événements historiques; s’il n’y a aucun événement dramatiques, l’état mentale et physique de la princesse est stable tandis que pendant une quelconque scènes « d’actions » elle se montre faible à s’évanouir ou autre. Dans ce passage on peut remarquer que le massacre de la Saint Barthélemy est l’élément déclencheur qui amènera le décède de l’héroïne quelque temps après et signe la fin du roman. Chabanes est intiment lié avec l’état de santé de la princesse et de son développement, quand le Comte se fait assassiner durant la nuit tragique, la princesse voit son état se dégrader à cause de sa culpabilité. Le meurtre de Chabanes va être le résultat d’un funeste hasard, car il est pris pour l’amant de la princesse par erreur et ensuite considéré comme un protestant alors qu’il a abandonné les camps de la guerre depuis le début de l’œuvre.

Le sujet principal de l’œuvre étant l’amour et les sentiments l’accompagnant, l’auteur montre que nous sommes pas forcément maître de nos sentiments. Nous avons vu que son état suivait le dénouement de l’histoire mais elle est aussi influencée par de nombreux faits qui son propre à l’intrigue. Au début de l’extrait, la princesse se sent trop honteuse et coupable de ces actes qu’elle fait semblant d’être malade pour ne pas confronter son mari, mais un certain nombres d’étapes sont mis en place, décrivant l’état de la Princesse et de ses symptômes. Au commencement de sa maladie son état semble incertain et sa vie semble en dépendre, mais plus tard on apprend qu’elle sur la voie du rétablissement même si elle est « torturée » psychologiquement pour s’en sortir. Cependant, l’histoire continue d’avancer et son état devient réellement mauvais après avoir appris le meurtre de Chabanes, qui est en parti de sa faute, et le fait que le Duc de guise l’abandonne après avoir dérobé de la vie normale et exemplaire qui lui était promise au près de son mari. Le fait que le Duc n’est aucunes séquelles et au contraire a eu tout ce qu’il désirait, obtenir le cœur de la princesse et venger son père, lui permet de continuer sa

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