Amd1002 tn1-securiplus
Dissertation : Amd1002 tn1-securiplus. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar KIMBOD • 21 Février 2017 • Dissertation • 1 497 Mots (6 Pages) • 869 Vues
Question 1
Le principe de la division du travail et de l’oganisation scientifique du travail correspond bien à l’entreprise Assurances Sécuriplus. On observe que cette entreprise est bien structurée. Nous y comptons trois divisions bien précises.
I. La division vie ( représentant 50% des revenus de primes de la société )
II. La division industrielle ( représentant 20% des revenus de prime de la société )
III. La divison médicale ( représentant 30% des revenus de prime de la société )
Chaque division se spécialise dans un secteur particulier ayant « sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau » (Atkinson, 1999, page 2). Les divisions fonctionnent comme des entreprises commerciales complètement indépendantes. «Elle avait sa propre équipe des ventes, ses systèmes informatiques, ses banques de données informatisées sur les bénéficiaires, ses services comptables et son équipe d’analystes» (Atkinson, 1999, page 2). La divison médicale à elle seule compte 66 employés : 7 cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et 14 préposés à l’administration. Chaque employé considère seulement ce qui provient de sa spécialisation. Un commis de bureau des réclamations des médicaments n’effecturait pas le travail du commis de bureau des réclamatios des soins dentaires.
Les trois catégories sont redivisées à leurs tour en services clairement distincs et dirigés par des directeurs qui eux aussi ont des tâches précises. Tel que le démontre l’organigramme de la divion médicale (figure 1, Atkinson, 1999, page 2) , on retrouve quatre directions bien définis. Nous y voyons clairement la division du travail et la spécialisation des tâches (comme par exemple deux directeurs spécifiques pour les réclamations des médicaments et des soins dentaires).
Après plusieurs plaintes de clients , une étude a été produite afin de trouvé ce qui clochait. Un manque de productivité en résulte. « En moyenne chaque employé traitait 125 réclamations par jour chez Sécuriplus, ce qui était bien en deçà de la moyenne de 155 réclamations par employé et par jour chez trois de ses concurrents » (Aktkinson, 1999, page 10). C’est à partir de ce manque que les dirigeants ont décidé de donner une formation dix heures de temps à cours intensif lors de l’installation du nouveau système informatique.
Je considère que selon ces extraits, l’entreprise Sécuriplus correspond au principe de la division du travail et de l’oganisation scientifique du travail.
Question 2
Selon l’étude de cas de l’entreprise Sécuriplus, nous constateons que beaucoup de principes d’administrations tels que présentés par Henri Fayol y sont présents, mais pas complètement.
Nous savons qu’Henri Fayol présente 14 principes. Le premier principe d’administration est la division du travail. Dans l’entreprise Sécuriplus, c’est très présent. L’entreprise compte trois divisions (vie, industrielle et médicale) complètement indépendante avec pour chacune une équipe de direction avec des tâches bien définis. « Chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau » (Atkinson, 1999, page 2). Chaque division pourrait être considérée comme une entreprise commerciale autonome avec « ses systèmes informatiques, ses banques de données informatisées sur les bénéficiaires, ses services comptables et son équipe d’analystes » (Atkinson, 1999, page 2).
Par exemple, à la division médicale, celle-ci compte 66 employés dont les postes sont réparties entre les « sept cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et 14 préposés à l’administration » (Atkinson, 1999, page 2). Selon l’organigramme présenté dans l’étude de cas, les 14 préposés à l’administration sont spécialisés, soit conseiller aux affaires juridiques, préposés au courrier, préposés à la comptabilité, analystes, informaticiens ou préposé aux dossiers médicaux. On comprend en conséquence que le principe de la hiérarchie coïncide à Sécuriplus.
Le deuxième principe est l’autorité et de la responsabilité au sein de l’entreprise qu’on constaste bien chez Sécuriplus. À cet effet, on remarque la mise en place de nombreux postes de direction. Le principe d’autorité est donc pris en considération. « J’entends bien changer les choses et améliorer la performance autour d’ici et tant pis s’il faut congédier chacun des commis du service pour y arriver! » (Atkinson, 1999, page 11). Par ailleurs, le principe de l’unité de commandement et le principe de l’unité de direction, semble bien installé auprès de l’entreprise avec leur structure des directions bien établis. Sécuriplus démontre
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