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Titre Intimité et dignité en Ehpad

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Par   •  28 Juin 2016  •  Fiche de lecture  •  1 353 Mots (6 Pages)  •  2 260 Vues

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Titre Intimité et dignité en Ehpad

Auteurs(s) Nicolas Rullière

Date de parution Avril 2014

Edition La revue de l’infirmière

Nombre de pages 2 pages

Mots clefs Alzheimer, Ehpad, dignité, autonomie, bienfaisance, non-malfaisance, respect, liberté.

Citations « L’unité Alzheimer de l’Ehpad de Pont-de-Veyle, sans l’Ain, prend en charge ses résidents selon quatre principes éthiques: dignité, autonomie, bienfaisance, non-malfaisance. » Page 1

2) Résumé du document.

Cette revue est intitulée ‘ Intimité et dignité en Ehpad’.

Elle est composée de deux pages. Elle est parue en avril 2014, dans la revue de l’infirmière n°200. Cet article a été écrit par Nicolas Rulllière, praticien hospitalier et médecin coordonnateur.

Cet article traite de la prise en charge des résidents atteints de la maladie d’Alzheimer en Ehpad, selon les valeurs de l’Ehpad Pont-de-Veyle dans l’Ain, dont les quatre principes fondamentaux sont: « La dignité, l’autonomie, la bienfaisance et la non-malfaisance. »

Aujourd’hui on estime à 850000 le nombre de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et en 2020 on l’estime a 1,3 millions.

Il est souhaité que le diagnostic soit posé le plus rapidement possible pour assurer une meilleure prise en charge.

La maladie entraine la perte de repère et cette perte met le patient dans un état d’anxiété, ce qui peut accentuer les troubles déjà causés par la maladie.

Pour prendre en charge les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, l’idée est d’accueillir les patients dans un établissement, un lieu spécifique avec un personnel formé, ainsi le patient est appréhendé comme un locataire, ses propres meubles et affaires personnelles, un lieu où il pourra recevoir ses proches.

C’est le cas de l’Ehpad de Pont-de-Veyle, en effet dans cette structures les résidents ont leur propre chambre, salle de bains, sanitaire, seule les pièces comme le salon, salle à manger, cuisine sont communes à tous les résidents.

Nicolas Rullière nous rappel que l’unité Alzheimer « Les coquelicots » de l’établissement de Pont-de-Veyle « à retenue quatre principes éthiques: dignité, autonomie, bienfaisance, non-malfaisance » (page 1), et que « Les solutions mises en œuvre au sein de l’unité Alzheimer se diffusent dans tout l’établissement » (page 1)

En effet, il est laissé aux résidents une certaine liberté dans la prise de décisions.

Lors des soins d’hygiène, le résident décide du moment à laquelle elle sera faite, et de sa durée. « Pour la toilette, le rythme du résident est respecté et aucun horaire n’est imposé » (page 1).

Le personnel est la néanmoins pour avertir le résident que c’est heure adéquate pour se laver, et pour l’aider si nécessaire, sans pour autant entraver son autonomie.

Il en est de même pour les repas, chaque résidents est libre de choisir la table où il mangera et avec qui, il n’y a pas de tables ou de places attribués.

Le personnel est présent pour leur suggérer une place ou les orienter en cas de besoin ou d’hésitation du patient « Nous suggérons au résidents un emplacement: d’habitude vous vous mettez ici Madame X, est-ce votre souhait aujourd’hui? » (page 1).

Lors des repas, tout le monde est à la même enseigne, il n’y a pas de distinction aussi bien entre les résidents, qu’avec le personnel soignant.

Tout le monde prend son repas dans la même pièce et en même temps « Le repas des membres de l’équipe est pris avec les résidents » (page 1)

Il est tout à fait possible pour les résidents d’inviter leur proches, dans ce cas, le repas s’effectuera dans la chambre du résidents en questions.

Les activités ou le temps d’échanges sont très important pour les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.

Il est néanmoins indispensable que les activités soit adaptées aux capacité de chaque résident, au risque de le décourager et de freiner sa progression.

Il nous est expliqué dans l'article que «  Les animations se mettent en place spontanément à partir de la motivation des résidents et de l’implication du soignant »

Rien n’est donc imposé aussi bien au résident qu’au personnel. Une animation à laquelle un résident serai forcé à participer sera moins réussie qu’une animation dans laquelle il pourra s’épanouir et trouver de la satisfaction.

Pour que les temps d’échanges

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