Lise V. Hugo

AUTEUR

LE RECUEIL DE POEME

PRESENTER LE POEME ET SON SUJEET

PROBLEMATIQUE ET PLAN

DEUX AXES

J’avais douze ans ; elle en avait bien seize.
Elle était grande, et, moi, j’étais petit.

Il  parle de la diff d’age ANTITHESE PETIT ET GRAND

Pour lui parler le soir plus à mon aise,
Moi, j’attendais que sa mère sortît ;
Puis je venais m’asseoir près de sa chaise
Pour lui parler le soir plus à mon aise.

UN AMOUREUX GALANT QUI ATTEND QUE LA MERE SOIT ABSENTE.

RUSE D ENFANT RESTE RESPECTUEUX PRES DE SA CLAISE

FIN DU PREMIER QUATRAIN

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Que de printemps passés avec leurs fleurs !
Que de feux morts, et que de tombes closes !
Se souvient-on qu’il fut jadis des cœurs ?
Se souvient-on qu’il fut jadis des roses ?
Elle m’aimait. Je l’aimais. Nous étions
Deux purs enfants, deux parfums, deux rayons.

ICI C EST LE HOGO ADULTE QUI S EXPRIME POUR PARLER DU TEMPS PASSE 

MELANGE DE NOSTALGIE LYRIQUE AVEC LES POINTS D EXCLAMATION

CHAMP LEXICAL DE LA MORT  TOMBES  MORTS

INNOCENCE DE L AMOUR «  nous étions deux purs enfants ET EN MEME TEMPS TU PARLES DE L’ENJAMBEMENT QUI MET EN VALEUR EN DEBUT DE VERS « deux purs enfants ».

COUPLE ON PASSE DU ELLE ET JE AU NOUS

Dieu l’avait faite ange, fée et princesse.
Comme elle était bien plus grande que moi,
Je lui faisais des questions sans cesse
Pour le plaisir de lui dire : Pourquoi ?
Et, par moments, elle évitait, craintive,
Mon œil rêveur qui la rendait pensive.

Elle se rend compte qu’il est amoureux d’elle.

Puis j’étalais mon savoir enfantin,
Mes jeux, la balle et la toupie agile ;
J’étais tout fier d’apprendre le latin ;
Je lui montrais mon Phèdre et mon Virgile ;
Je bravais tout ; rien ne me faisait mal ;
Je lui disais : Mon père est général.

REPRISE DU RECIT

Comparaison avec l’ange IDEALISATION

SA STRATEGIE AMOUREUSE

IL ETALE TANT SES JEUX D’ENFANT que « son savoir enfantin »

MAIS AUSSI LE METIER DE SON PERE « GENERAL » pour se mettre lui-même en valeur.

LISE

Vers 1 à 3        

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