L’humanité en progrès.
Étude de cas : L’humanité en progrès.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tuianu • 9 Juin 2016 • Étude de cas • 789 Mots (4 Pages) • 645 Vues
Texte 33 : L’humanité en progrès.
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Le document que je vais présenter est un extrait de « préface sur le traité du vide » écrit par Pascal. B. Son thème est la connaissance humaniste. Dans cette œuvre B.Pascal discute de l’image continuiste du progrès ; il énonce donc que les savant c’est-à-dire des personnes ayant des connaissances étendues dans divers domaines ou dans une discipline particulière ne sont pas les grecs de l’Antiquité mais bien l’homme moderne du XVIIe siècle. Nous pouvons nous interroger sur ce qui fait de l’homme une image continuiste du progrès.
En première partie nous verrons l’évolution de la connaissance humaniste puis en deuxième partie nous analyserons la manière dont l’auteur décrit l’image de continuiste du progrès.
Dans un premier temps l’auteur introduit l’homme comme étant une personne totalement ignorante au premier âge de sa vie puis grâce à l’éducation qu’on nous donne dès notre naissance à savoir la connaissance première qui sont ceux que nos parents nous lègue, suite à cela cette connaissance ne cesse de progresser. Cette caractéristique particulière qui distingue l’homme des animaux, lui permet d’assimilé plusieurs connaissance et de la mémoriser mais également de la conserver. Pour l’expliquer l’auteur note à la ligne 7-8 « il tire avantage non seulement de sa propre expérience, mais encore de celle de ses prédécesseurs » ; « il garde toujours dans sa mémoire les connaissances qu’il s’est une fois acquises ». Cette connaissance humaniste augmente grâce à différentes façons à savoir ; les expériences propres ;ceux des prédécesseurs qu’on peut en effet trouver à travers les paroles des anciens, les livres mais aussi les études qui permettent d’acquérir des connaissances de plusieurs siècles.
Dans un deuxième temps, Pascal Blaise à travers cette analyse de la connaissance humaniste exprime l’image de continuiste du progrès. Nous pouvons observer le champ lexical de l’âge « naissance, vieillesse, siècle, âge.. » ; il énonce que la connaissance que l’homme acquière dès sa naissance ne cesse d’augmenter et il qualifie cela de « continuel progrès » (l.16). Comme je l’ai dis dans la 1ère partie, Blaise Pascal introduit la vie (naissance jusqu’à la vieille) à la connaissance qui « cesse de progresser ». (l.19) « homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement » comme l’auteur le cite l’homme n’est pas figé dans le siècle où il se trouve, mais est en constante évolution. A la ligne 20, B.Pascal énonce «d'où l'on voit avec combien d'injustice nous respectons l'antiquité dans ses philosophes », « Ceux que nous appelons anciens étaient véritablement nouveaux en toutes choses, et formaient l'enfance des hommes proprement. » Ces expressions peuvent être prises comme un commencement propres aux hommes et non comme un progrès.
Pour conclure, l’auteur mets en effet un point sur la connaissance humaniste et montre son évolution constante, il qualifie comme savant non pas les anciens mais bien ceux qui sont du temps moderne du XVIIe siècle, il fait l’éloge de lui-même. La connaissance humaniste selon lui est alors une image continuiste du progrès car elle ne cesse de progresser avec l’âge. Mais cette thèse sera par la suite remise en cause par C. Levi strauss dans son œuvre race et histoire.
Cette extrait est pour moi, plutôt intéressant car l’auteur montre que la connaissance est quelque chose que l’on cultive un peu comme les légumes ou les fruits, on mets une graine qui n’est a premier vu inutile puis on fait tout pour qu’elles puissent grandir tout comme l’homme, c’est un être ignorant qu’on éduque des la naissance par nos parents puis qu’on doit nourrir de plusieurs manières, études, partage de connaissance, livre, prédécesseurs ... De plus cette thèse m’a permis de voir que en effet ceux de l’antiquité ne permettent pas le progrès mais uniquement le commencement de connaissance permettant le progrès. Mais je ne suis pas d’accord lorsque Pascal
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