Lettre à Mme de Pomponne / Mme de Sévigné.
Commentaire de texte : Lettre à Mme de Pomponne / Mme de Sévigné.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Aludbdbd • 18 Février 2022 • Commentaire de texte • 886 Mots (4 Pages) • 1 530 Vues
Parcours : la comédie sociale.
Texte 2 : Lettre à Mme de Pomponne, Mme de Sévigné.
Introduction : Elle donne une photographie complète détaillée de ce qu’il se passe à la Cour.
Cette lettre est destinée à Simon Arnauld de Pomponne, ministre de Louis XIV. Elle raconte une anecdote, il s’agit d’un échange entre Louis XIV et Gramont.
Il est ministre, maréchal, Père de France. (Gramont)
Le ministre perd la face à cause d’un tour joué par le roi.
Problématique : Comment Mme de Sévigné procède-t-elle pour rendre vivante son « historiette » ? Quel est le but de cette anecdote ?
Structure :
Mouvement 1 (ligne 1 à ligne 3) : L’introduction.
Mouvement 2 (ligne 4 à ligne 12) : L’anecdote.
Mouvement 3 (ligne 12 à ligne 14) : La morale, l’intervention de Mme de Sévigné.
L’introduction :
Ligne 1 : “Il faut” : subjonctif, elle est pressé de nous conter, c’est une nécessité.
“historiette” : petite histoire. Elle est complétée par deux propositions subordonnées relatives. Premier gage de véracité, parce qu’elle à vécu la scène, elle y a assisté. Deuxième gage de divertir, elle est vraie et amusante.
Ligne 2 : “se mêle depuis peu”, verbe pronominal.
Mme de Saint-Aignan et Dangeau → grands soldats, homme de lettres futur académicien.
Ligne 3 : Apprendre et s’y prendre : vocabulaire de l’apprentissage.
La forme impersonnelle nécessité de suivre certaines règles.
L’anecdote :
“il fit” on rentre dans l’anecdote.
Ligne 4 : “L’autre jour” : indication temporelle vague. Le sujet est un madrigal : petite pièce poétique galante, écrit de séduction.
Placere (historiette) et docere (morale → Mouvement 3)
Proposition subordonnée relative → regard critique sur son travail.
Litote → “pas trop jolie”, il a conscience que ce n’est pas un poète.
“Un matin”, indicateur temporel vague mais aussi indicateur du début de l’anecdote, c’est le piège tendu au maréchal Gramont. Le roi, il ne faut pas le prendre pour un idiot.
Milieu de la ligne 4 → on remarque un dialogue, le discours direct apporte toujours de la vivacité au texte, c’est l’habitude de Mme de Sévigné de faire parler ses personnages à l’intérieur de ses lettres.
Une apostrophe ou une interpellation, son piège s’installe dans le respect “je vous prie”.
“Lisez” → impératif présent = inviter quelqu’un à faire quelque chose.
Ligne 5 : Verbe “voir” : jugement suivi de “vu”.
“jamais” → n’est pas une négation, moment quelconque “un jour”.
“juger à l’aune” : jugez en fonction de…
Si → adverbe d’intensité.
Impertinent = toujours très sur d’eux, trop confiance en eux.
“Parce qu’” : phrase qui commence par une proposition subordonnée complétive de cause. La cause met en question la nouvelle mani du roi pour l’écriture → appétence/goût à quelque chose.
Le
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