Les logiques d'actions

Au niveau des logiques d’action, la tradition semble dominante dans l’entreprise, on peut clairement voir l état de perturbation dans l équipe de Claude après son départ, étant donner que ce dernier jouait le rôle du mentorat dans l entreprise, son équipe se trouvait son manager pour l’orienter et la diriger dans son apprentissage. On remarque aussi que la pérennité et le cœur de la raison d’être de cette entreprise Farley  acceptait la fusion avec le groupe Walker pour garder ca part de marché.

D’ autre part, il existe en parallèle un management formel au niveau de certaines décisions de Farley, le fait de faire appel à un conseiller externe pour coacher, coordonner, réorganiser et sensibiliser les employés à maximiser l’atteinte des objectifs et à accroitre l’efficacité. On regardant le bilan présenté «Les cadres se sont impliqués dans le projet à 150%, les comptables à 110%, le personnel de soutien de Kamloops à 80% et celui de Vernon à moins 50%.»  Farley a utilisé l’objectivité et la quantification en terme de savoir.

Il n’a pas hésité à remercier l’employée qui critiquait sans relâche toutes les tentatives d’amélioration, on s’appuyant sur le fait que les intérêts de l employée  ne convergeaient pas vers la réalisation d’un intérêt général.

Cadre juridique : la présence est la raison d être de l’organisation

Perspective cognitive : le savoir est une propriété collective

L’efficacité est au fondement du progrès

La recherche de la meilleure technique ne connait pas de limites

SOLUTIONS :

La solution la plus adapté a l’entreprise est de palier aux problèmes a l aide d’une source interne. Farley devra embauché un nouvel employé qui prendre la place du coach que Jim Brown a laissé. un leader charismatique aura un impact positif pour créer a nouveau une ambiance positive et encourageante

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