La cour du Lion, Jean de la Fontaine
Commentaire de texte : La cour du Lion, Jean de la Fontaine. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mariehprt • 24 Décembre 2019 • Commentaire de texte • 524 Mots (3 Pages) • 638 Vues
Dans le vers 1 et 2 la troisième personnes commence le vers comme si le lion entrait en scène a la fin du vers 1 et 2 on peut retrouver la répétition du la consonance « aître » qui peux faire référence a une personnes un être qui appuis l’idée de personnification des personnes en animaux on peux aussi remarquer que c’est une proposition subordonné indirect « ciel » est à la césure qui appuie sur l’importance du mot et le vers ce fini par des rimes plates du vers 3a14 on peux voire la forme d’une lettre qui est une façon d’humaniser des rimes croisées (députes /nature/côtés/écriture) vassaux montre la puissance des personnages il as aussi un rejet du mot « sceau »qui appuis la forme de la lettre car le sceau et utiliser pour fermer des lettres signature du roi visible au V10 on peux voire un adverbe d’intensité « fort grand » « magnificence » est a la fin du vers et rime avec puissance qui est aussi a la fin du vers dans le vers 13 on retrouve un alexandrin de supériorité par la proposition « le prince et ses sujet étalait sa puissance » dans le vers 14 le Louvre est a la césure du vers montrant l’importance car c’est l’endroit ou vis le roi dans le vers 15 on trouve du discourt indirect libre accentué par les penser des gens deux points d’exclamation association on peut remarquer qu’on passe de la puissance , magnificence au médiocre a la fin du vers il as un rejet du vers 16a19la réaction simultané de l’ours le temps est au passer la cause de cette acte est qu’il ne peut pas ce retenir. Cette réaction est suivie de celle du monarque par un adjectif qualificatif épithète
En fin de vers il a un rejet pour insister et l’envoie à la mort avec un procèdes de péri phrase au vers 20a27 la réaction du singe qui lui dit un mensonge « approuva fort cette sévérité » il as une forme de métonymie avec la griffe du lion il as du discourt indirect avec de l’ironie « sotte flatterie » , « mauvais suces » « « Encore » montre la puissance du roiv27a32 « Caligula »assimilation a un empereur romain quand le roi parle c’est un discourt indirect qui montre son impatience avec les courte phrase et impératif. « S’excuser » termine le vers et insiste sur le grand rhume qui suis de la réaction immédiate du monarque v33a36 c’est la morale de la fable qui est déictique avec toute une série de négation qui insiste sur la justice du roi qui est arbitraire et cette fable se termine par un conseil
Dans cette fable La fontaine traduit le tableau de sont temps par la satire et un portrait négatif de la société de sont temps qui montre la personnalité des courtisans du roi et la personnalité du roi qui n’aime ni les flatteries ni la franchise comme on peux on peut retrouvez cette critique dans la table la cour du lion de Jean Baptiste Oudry
...