La Prose du Transsibérien, Blaise Cendrars, 1913
Fiche de lecture : La Prose du Transsibérien, Blaise Cendrars, 1913. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kheopsou • 30 Janvier 2020 • Fiche de lecture • 423 Mots (2 Pages) • 2 023 Vues
La Prose du Transsibérien, Blaise Cendrars, 1913
I. Présentation de l’auteur
Frédéric Louis Sauser plus connu sous le pseudonyme de Blaise Cendrars est un écrivain franco-suisse. Il est né le 1er Septembre 1887 en suisse et mort le 21 Janvier 1961 à Paris.
À 16 ans, il quitte la Suisse pour un long séjour en Russie puis en 1911, il part en Amérique à New York où il écrit son premier poème. Il le publie en 1912 à Paris sous le pseudonyme de Blaise Cendrars, il fait allusion aux braises et aux cendres permettant la renaissance cyclique du phénix. C’est en 1913 qu’il publie La Prose du Transsibérien. Il s’engage en tant que volontaire étranger lors de la guerre 1914-1918, puis il passera dans la Légion étrangère. En 1915 il est gravement blessé en septembre 1915, il est amputé du bras droit et donc réformé. Il en fera un poème (La Main coupée). Il est naturalisé français en 1916 suite à son engagement lors de la guerre. Il délaisse un temps la littérature pour le cinéma, sans succès. Il voyage au Brésil à partir de 1924.
Puis en 1925 il s’oriente vers le roman, en 1930 il devient grand reporter. Il quitte paris après la débâcle en 1939 pour Aix-en-Provence. Après 3 ans sans nouvelles il revient en 1943 pour écrire ses mémoires. De retour à Paris en 1950, il travaille fréquemment avec la Radio française. Victime d’une congestion cérébrale en 1956, il meurt suite à une seconde attaque en Janvier 1961. Cendrars s’inscrit dans le modernisme puis le futurisme (mouvement littéraire).
II. Contexte de l’œuvre :
Cendrars a écrit La Prose du Transsibérien en s’inspirant de plusieurs années de voyage entre Paris, Moscou, New York de 1905 à 1912. Comme Rimbaud dès 16 ans il fugue vers la Russie, qui suivront d’une longue série de voyage dans le monde entier. Dans La Prose du Transsibérien, le poète se souvient de sa découverte émerveillée de la Russie. Son poème n’est pas seulement un récit de voyage c’est aussi un fragment d’autobiographie où le jeune homme se rappelle l’adolescent exalté qu’il était et le juge. C’est donc cette fugue en Russie qu’il nous racontent dans cette poésie.
III. Appréciation personnelle
J’ai bien aimé La Prose du Transsibérie, j’aime les thèmes abordés. Notamment les passages décrivant la Russie, l’auteur nous fait voyager avec lui. « Le Kremlin était comme un immense gâteau tartare croustillé d’or, avec les grandes amandes des cathédrales, toutes blanches et l’or mielleux des cloches.. » J’aime beaucoup la description des paysages de Cendrars.
IV. Appréciation personnelle
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