L’Illettrisme n’est plus une insignifiance
Dissertation : L’Illettrisme n’est plus une insignifiance. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar SariSpie • 14 Juin 2019 • Dissertation • 616 Mots (3 Pages) • 430 Vues
Outils linguistique pour l’analyse des médias SP 2012
Sarah Spiegel
Commentaire
L’Illettrisme n’est plus une insignifiance. En Suisse il y a près de 40 % qui sont touchés par l’alphabétisme. Ils savent lire et écrire pour se débrouiller au quotidien mais pas pour s’affronter aux nouvelles demandes du marché du travail. Les informations écrites sont de plus en plus utilisées par exemple à toutes les automates à billets. Donc on doit savoir lire vite et bien.
Dans l’article d’Emmanuelle Michel sont citées trois personnes des différentes organisations. Sa contribution qui est publiée le 11 juin 2002 dans le journal « le temps » est un rapport surtout objectif. En regardent les différentes sources qu’elle cite, on remarque qu’elle traite beaucoup des informations des organisations et des recherches internationales. Elle décrit la situation en Suisse et nomme les suites.
Premièrement je vais me livrer à la lecture énonciative. On voit qu’elle commente les énoncés des trois personnes. On trouve un exemple de ses commentaires après l’explication de Brigitte Pythoud. L’auteure ajoute: « La situation des jeunes n’est pas meilleure. » Néanmoins on ne peut pas relever beaucoup de marques de l’énonciateur principal. Il y a quelques une, mais ils sont rares. Plus souvent on constate des énonciateurs internes aux déclarations des experts, par exemple dans l’affirmation de Christophe Reichenau : « …Il n’y aura pas de solution simple et rapide à un problème aussi profond et complexe. » Voici-il juge ce problème de l’illettrisme fortement en utilisant les adjectives « profond » et « complexe ».
Ensuite je vais traiter la lecture polyphonique. Dans l’article on a des discours narrativisés. Un premier exemple est la phrase suivante : « …Et propose de mettre en place les structures d’accueil avant de lancer une campagne de sensibilisation. » qui se trouve au chapeau. On voit non seulement des discours directs mais encore des discours indirects. Les paroles de personnes interrogées sont fréquentes. Ils prennent environ la moitié de l’article. Je ne cite plus ces phrases plutôt je veux analyser le statut de ces personnes. Une fois on a une co-auteure du rapport du Centre suisse de coordination pour la recherche en éducation (CSRE). Elle précise qu’il existe des faibles compétences en lecture et en écriture après l’école obligatoire. Puis la coordinatrice romande de l’association Lire et Ecrire rappelle qu’on doit savoir lire vite et bien. Et finalement on trouve l’affirmation d’un homme de l’OFC. Il explique qu’il faut un travail concret dans les milieux touchés. Donc l’auteure a bien choisi ces experts et surtout leurs énonciations.
Je pense qu’elle a pris ces trois personnes pour exprimer mieux son propre opinion. C’est-à-dire que le texte a aussi des éléments subjectifs et personnels. Ils ne sont pas de l’auteure soi-même, mais ils disent ce qu’elle pense concernant l’illettrisme en Suisse.
Finalement je n’ai pas eu le sentiment d’avoir été manipulée. Au contraire je trouve que j’ai acquis plus de connaissances à propos les problèmes signifiants de l’illettrisme en Suisse.
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