L'image de la femme noire
Commentaire de texte : L'image de la femme noire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dinno • 13 Janvier 2018 • Commentaire de texte • 694 Mots (3 Pages) • 970 Vues
INTRODUCTION
I –LA FEMME, SOURCE DE VIE ET PILIER DE LA FAMILE.
1. La femme, source de vie
2 .La femme, pilier de la famille
II- LA FEMME, VICTIME DE PLUSIEURES INJUSTICES
1. Sur le plan politique
2. Sur le plan matrimonial
3. Au niveau de son intégrité physique
Conclusion
INTRODUCTION
La femme source de la vie, pilier de l’éducation est souvent marginalisée dans la société. Cet état de fait a préoccupé bon nombre d’écrivains à l’instar de SORO GUEFALA écrivain ivoirien né à KOMBORODOUGOU dans le département de Korhogo. Dans son œuvre intitulé LE VILLAGE DE LA HONTE, il jette un regard sur la condition de la femme dans la société africaine. Ainsi dans notre exposé, nous nous appesantirons sur les différentes positions de la femme dans l’œuvre.
I –LA FEMME, SOURCE DE VIE ET PILIER DE LA FAMILE.
1. La femme, source de vie
La femme en générale est celle qui donne la vie, qui engendre ou donne naissance à un être. « Dans le village de NADOLEUPLEU nous avons le cas de la femme qui a donné naissance des jumeaux » page 82
2 .La femme, pilier de la famille
La femme a la charge de la famille sur ses épaules. C’est-elle qui le monopole de l’éducation des enfants. Elle est le réconfort de l’enfant et cela est perçu dans l’œuvre en son chapitre III ou l’auteur affirme « elle assure le bonheur des enfants »
II- LA FEMME, VICTIME DE PLUSIEURES INJUSTICES
1. Sur le plan politique
La femme est une personne marginalisée, souvent mise à l’écart des prises de décisions importantes. Dans le village de KODARA, nous avons comme exemple « Père n’est ce pas toi-même qui m’enseignait que les affaires d’hommes ne devaient se traiter entre hommes ? » Page 15
2. Sur le plan matrimonial
La femme victime de plusieurs injustices telle que le lévirat est soumise obligatoirement à ses injustices. Dans le village de GOPANLEDOUO, nous avons comme exemple « La famille s’était réunir et avait demandé à la veuve d’épouser le benjamin de son défunt mari » page 64, elle est aussi victime du mariage précoce et forcé. Dans le village de BANASSO « Une jeune fille de seize ans qui avait été mariée depuis quatre ans » page 98.
3. Au niveau de son intégrité physique
La femme, un être fragile sans défense et sans volonté est soumise à de nombreuses tortures, accusée à tord et à travers,
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