Fiche Bac Oral François villon la ballade des pendus

La ballade des pendu de fronçais Villon

Introduction :

Pour commencer franchis Villon est  un poète français de la fin du moyen age, il est né en 1431 et orphelin de père, est confier au chanoine Guillaume de Villon, dont il prend le nom.

 Lors de la guerre de cents ans Paris devient le théâtre de conflits estudiantins auquel Villon se mêle en 1455,le premier drame arrive : il blesse à mort son adversaire et quitte provisoirement Paris.

Un an plus tard un vol le contraint encore a l’exil. Il est même condamne a la pendaison. C’est a ce moment la qu’il aurait écrit la ballade de pendu du moins ce que la légende prétend. La t’il écrit comme un testament ? En tout cas c’est a partir de ce momment la que nous perdons sa trace et c’est pouquoi on l’appele aussi l’hepitaphe de villon

Quoiqu’il en soit, cette ballade sans doute écrite dans les années 1460, composée de trois dizains de décasyllabes et d’un envoi (adresse) de cinq vers, présente une description pour le moins réaliste d’un groupe de pendus après leur mort

Le texte est en effet imprégné de l’idée de mort et de souffrance, mais aussi de pardon Villon y fait appel à la charité chrétienne en donnant aux pendus une voix.

LECTURE

RAPPELER LA QUESTION

I)Le spectacle réaliste qui suscite l’horreur

A) La mise en scène réaliste des cadavres en décomposition

Le texte suit la decomposition des corps : <> (V.7)→ <> (v7)→ <> (v8) → <[pic 1], squelettes en décomposition. Le texte souligne ce qui arrive à la chair, la corruption de la chair avec les altérations du corps humain jusqu'à la dégradation des corps. V. 7 et 8:la coordination des deux mots de sens voisin (a dévorée et pourrie n, « cendre et poudre ») produit un effet d'insistance. On retrouve ce procédé aux v. 21 et 22 (« débués et lavés n, « desséchés et noircis ») Le procédés sert à rendre saisissante l'évocation des pendus exposés aux outrages du climat: après la mort, les cadavres se décomposent en restant attachés à la potence La violence des vers 23 et 24 est due au réalisme macabre de la description avec l'évocation des olseaux qui mangent les yeux des pendus et picorent les poils du visage. La comparaison triviale au vers 28 (« Plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre »), qui prolonge cette évocation, est saisissante: précision des détails réalisme simple de la comparaison avec le dés à coudre Le mouvement des pendus est aussi évoqué aux vers 25 et 26, mais aussi par le rythme. Les coupes du vers 26 (2/2/6) correspondent au mouvement agité, au va-et-vient des cadavres que le vent balance au bout de leur corde.

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