Extrait Sarraute enfance

INTRO

        Je vais donc vous présentez le texte de Nathalie Sarraute , c’est un extrait tiré de son autobiographie ENFANCE qu’elle à écrit en 1983. Sarraute c’est une écrivaine et dramaturge Française d’origine Russe c’est également l’une des pionnières du NOUVEAU ROMAN , elle a vécu de 1900 jusqu’à 1999. L’extrait que je vais vous présentez se place entre la rencontre rue Boissonade avec la future épouse de son père et l’arrivée a ST Pétersbouirg chez sa mère  Je vais donc commencer par la lecture du texte et ensuite je l’analyserais .

*LECTURE DU TEXTE*

PREMIÈRE PARTIE

        Je vais donc commencé par traité l’expression du doute de l’auteur. D’abord aux lignes 1 à 3 on peut remarquer la présence de plusieurs point de suspension ce qui montre le tâtonnements ainsi que l’hésitation de l’auteur. D’ailleurs le premier paragraphe entier est une question rhétorique , ce qui montre encore + que Sarraute s’interroge. De plus il y a deux tensions contradictoires , on ressent à la fois la pulsion d’écrire donc son envie d’écrire qui est exprimées à travers les verbes a infinitif tel que  VOULOIR / PARVENIR et RETENIR présent à la ligne 1 , et on ressens aussi le doute face a l’écriture qui est exprimée a travers les temps SUBJONCTIF et CONDITIONNELLE dans les verbes PUISSENT qui est du SUBJONCTIF et SERAIT qui lui  est du CONDITIONNELLE. Ensuite , l ’objectif de l’auteur malgré qu’il soit écrit noir sur blanc aux ligne 1 et 2 il est introduit négativement comme si il était impossible à atteindre , ce qui fais penser à une prétérition. De plus , ici l’écriture elle semble impersonnel , on peut le remarquer avec les verbes a l’infinitif et avec l’absence du pronom personnel «Je». Nathalie Sarraute utilise également une comparaison dérisoire à la ligne 2,Pour finir cette première partie , on aperçoit le champs lexical du religieux à travers les mots «visions céleste et pieuse» , avec ces mots Sarraute affirme que l’écriture n’a rien de miraculeux.

DEUXIÈME PARTIE

        Maintenant , je vais donc passer à ma deuxième partie elle évoque les circonstances de l’épisode. Pour commencer Sarraute elle entame un début de narration qui ressemble à ce qu’on attend d’une autobiographie , car dés le début du paragraphe 2 elle utilise la première personne du singulier et c’est ce qui est attendu dans une autobiographie. La description du jardin elle est enfantine et elle est stéréotypée, on peut le voir  grâce aux couleurs innocentes comme le blanc le rose et le bleu . De plus il y a des détails paradisiaque tel que « espaliers en fleurs , fleuris , pétales et ciel »le décor est donc paradisiaque , voir idyllique. Il est presque magique avec « l’air qui semblait vibrer légèrement». Sarraute à l’air heureuse et ses sens sont en éveil , on le voit avec les verbes « ÉCOUTER , REGARDAIS , VIBRER », qui font tous référence à un sens comme l’ouï , la vue.

TROISIÈME PARTIE

        Je vais désormais m’attacher a montrer l’évocation des émotions que ressent l’auteur . Premièrement on observe une transition brutale avec le complément circonstanciel de temps « à ce moment la » qui est présent a la ligne 10 cette transition elle est soulignée par l’utilisation du passé composé « est venu »et l’utilisation du pronom démonstratif « c’ » ils ont utilisé pour ne pas nommer immédiatement ce qui vient , ce qui crée un effet de suspens et d’attente. Ensuite , Sarraute bascule de la description à l’analyse , elle fait un monologue ou elle alterne points de suspensions et questions « QUI QUOI QUEL »alors qu’elle cherche a définir avec exactitude ce qui lui est arrivé. Nathalie Sarraute examine chaque synonyme pour trouver comment qualifié le caractère unique et l’intensité du moment , elle examine « BONHEUR / FÉLICITER / EXALTATION ET JOIE » , et c’est finalement l’adjectif qualificatif JOIE qui est validé. De plus elle examine également soigneusement tous ses sentiments comme on peut le voir à travers le champs lexical des sentiments et des sensations avec les mots « SENSATION , PERCPECTIBLE , ÉPROUVE» mais on peut aussi le voir à travers les nombreux verbes d’actions tel que « revient , saisir et se présente»que on retrouve entre les lignes 13 et 15, il y a aussi une énumération à la ligne 18 avec les mots « LES BRIQUES ROSE/ESPALIERS EN FLEURS/LA PELOUSE .Pour finir quand les sentiments sont plus intense l’auteur fait une phrase plus longue ou elle juxtapose les informations pour montrer l’intensité des sensations.

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