D'un enfant monstrueux - Montaigne
Commentaire de texte : D'un enfant monstrueux - Montaigne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar the.mad.hatter • 16 Décembre 2017 • Commentaire de texte • 287 Mots (2 Pages) • 1 190 Vues
Intro : biographie et statut de Montaigne, son oeuvre "les essais" (part d'une de ses propres expériences pour amener à un raisonnement), place du récit en question dans l'oeuvre.
Lecture de l'extrait à voix haute en cas d'oral de l'examen du bac à ne surtout pas négliger (points à gagner facilement)
Pbg : en quoi ce texte a-t-il une visée argumentative ?
1/ ce texte expose objectivement le problème
* témoignage ("j'ai vu" ligne 2 "en ma présence" ligne 9-10)
* description réaliste et objective (imparfait de description, "il était" "il n'avait" détails physiques et parties du corps décrits "pieds", "seins", "dos", "quatre doigts environ" "bras plus court que l'autre".)
2/ l'argumentation s'imice de plus en plus dans le récit
* enfant banalisé (problèmes justifiés "c'est accidentellement que", il a une famille "père" "oncle" "tante", simplement qualifié d' "enfant")
* comparé à un homme spécial ("un pâtre" qui se comporte pourtant normalement)
* le récit s'achève sur une argumentation directe (rupture du récit avec présent de vérité générale, argument de Dieu, citation d'un auteur latin, tournures négatives récurrentes qui montrent que le problèmd vient des autres hommes et ne devrait pas être. )
3/ on trouve également dans ce texte la recherche de solutions ou d'une utilité de cet enfant
*rapport aux sciences (dès la première ligne "je laisse le soin aux médecins")
*utilité potentiellement prophétique (comparaison avec un problème social actuel l. 31-32-33)
Conclusion : l'argumentation y est exprimée par plusieurs moyens : l'argumentation directe et l'argumentation indirecte, grâce à différents procédés.
Ouverture (à ne pas oublier, car elle permet d'embrayer sur les 10 minutes d'entretient : on peut désormais se questionner sur les différents types d'argumentation, comme celle de la scène de l'humilation de Casimodo dans "notre dame de Paris", qui est indirecte et satirique.
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