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Commentaire littéraire de Thérèse Raquin + Conclusion

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Par   •  10 Décembre 2018  •  Commentaire de texte  •  821 Mots (4 Pages)  •  2 104 Vues

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Commentaire littéraire:Introduction: Au XIXème siècle, apparait le naturalisme, mouvement, qui sedonnent pour vocation d’approfondir l’héritage du réalisme, en s’appuyant surune démarche scientifique et en appliquant les lois de l’hérédité. Emile Zola,publie en 1867 Thérèse Raquin, roman dans lequel il relate l’histoire de deuxamants meurtriers. Dans cet extrait l’auteur grâce à une documentation poussénous peint le cadavre, gonflé par les eaux, de Camille victime de la passionamoureuse entre son ami et sa femme. Dès lord une problématique se pose ànous: En quoi le portait de Camille est-il peint de manière naturaliste? Pourrépondre à ce questionnement nous aborderons dans un premier temps de lascène dramatique puis dans un second temps le portrait des personnages.Développement:Nous allons traiter dans un premiers temps de la scène dramatiquequi se joue dans notre passage. Dans un premier temps nous aborderonsl’évolution de l’action dans l’extrait. En effet, le champs les adverbes de tempstel que « peu à peu », «souvent» ou encore «chaque matin» sont très fréquentet donne au récit un rythme saccadé à ce passage. De plus, la recherche active,par Laurent, de ca victime, passe par de nombreuse étapes .En effet, «ildistinguait [dans un premier temps ]les corps» puis n’a d’yeux que pour les«noyés [qui ] seul l’intéressait», la scène a un côté sadique car Laurent«regardait [les noyés] avidement», or ce dernier qui semble pourtant vouloirretrouver à tout prix sa victime, en a aussi très peur en effet «ses visite à lamorgue l’emplissait de cauchemar», et «quand il n’y avait pas de noyés [...]ilrespirait». Ainsi, il parait évident que action est suit une évolution se quidonnent au récit un certain côté théâtrale. Nous aborderons ensuite le passage duregistre comique au registre polémique. En effet, on peut observer ladédramatisation de cette situation angoissante, qu’est la visite journalière, deLaurent, à la morgue via l’utilisation du champ lexical du théâtre tel que «lepublic», ou encore la comparaison «applaudissent ou sifflant, comme authéâtre» nous donne la forte impression d’assister à un spectacle, le registrepolémique apparait par la comme une fonction expressive très marquée.Soucieux de réalisme et de précision, le texte polémique, rythmes la phraseavec de nombreux point-virgule , ainsi qu’un vocabulaire qui cherche a lancer ledébat tel que «il trouvait la mort drôle»nous avons ici la forte impression queZola pose une question, la mort est-elle drôle, «la morgue est réussi, ce jour-là»

la morgue a telle quelque chose de théâtrale. Ainsi, le registre comique etpolémique ce superpose dans cet extrait. Nous conclurons, par le rôle del’acteur plongé au cœur de l’action. En effet, pour rester dans le thème duthéâtre nous avons notre premier acteur, Laurent, recherche activement savictime et prend un plaisir sadique a se fondre dans la masse de gens venuobserver le spectacle journalier coffre la morgue, nous pouvons observer celavia «Laurent connut vite le public de l’endroit» on l’appelle au début dupassage par son prénom et puis soudainement on le surnomme «le meurtrier»et sais comme cela que l’auteur introduit le second acteur,Camille, en ledécrivant comme «ignoble», en effet «il avait séjourné quinze jours dansl’eau» ce qui nous donnent un indice

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