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Question 1 (Premier cas)

A) Gouvernance d’entreprise : La gouvernance d’entreprise se définit par l’ensemble des règles, de processus, des lois que les actionnaires de l’entreprise décident de mettre en place dans leur organisation afin de respecter leurs propres intérêts.

Gouvernance sociétale : La gouvernance sociale doit tenir compte de tous les facteurs environnementaux. Il faut savoir bien orienter son entreprise favorablement par rapport à tous les acteurs environnant. Trois mécanismes sont nécessaire soit le marché, le contrôle sociale de l’État et la conformité de l’entreprise face à la société. Ce sont trois mécanismes très important pour le bon fonctionnement de l’entreprise sans négliger la société.

B) Gouvernance d’entreprise dans le cas Computer Associates

On voit ici que la gouvernance d’entreprise a failli dans ce cas-ci pour des raisons d’abus de pouvoir de la part des dirigeants de l’entreprise. La transparence dans une entreprise est très importante et on voit ici que les actionnaires n’y ont pas porté une attention bien particulière vu l’étude de ce cas. Lorsqu’on fait la lecture de ce cas, on remarque alors qu’un nombre important de fraude s’est produite dans cette compagnie. En 1997, lorsque le président de Computer Sciences Corporation a intenté une poursuite envers CA, les actionnaires aurait dû réagir afin de mieux contrôler leurs propre intérêts dans l’entreprise.

Gouvernance sociétale dans le cas Computer Associates

La gouvernance sociétale a pour but de trouver comment orienter le comportement des entreprises dans un sens favorable aux intérêts de la société environnante.1 Dans le cas de CA, on comprend vite après la lecture, qu’avec toutes les fraudes et la malhonnêteté de l’entreprise que CA a failli à son but, car dans aucun cas les décisions ont été favorable à la société.

Question 2 (Deuxième cas)

A) Les théories déontologiques : On parle ici de règles, d'obligations, de lois qu'on doit suivre peu importe le résultat que ce soit positif ou négatifs. Kant parle de trois principes, l'universalité, la rationalité ainsi que l'interaction avec les autres.

L’utilitarisme : L'utilitarisme se définit comme étant l'utilité que chaque individu identifie comme mieux pour lui soit par certaines actions ou par les règles d'éthiques. On parle ici de l'utilitarisme de l'acte et l'utilitarisme de la règle. Il est difficile de mettre des barrières très précises à l'utilitarisme de l'acte, car pour chaque personne un geste peut amener un grand bonheur et pour d'autres tout le contraire. Il est difficile de quantifier le bonheur qu'un geste ou qu’une action peut produire, car selon la culture, la situation financière, les valeurs, etc., chaque personne peut percevoir le bonheur différemment. Pour l'utilitarisme de la règle, on parle de règle générale d'éthique comme par exemple ne pas tuer. On considère que pour la grande majorité des gens un meurtre a un impact très négatif sur le bonheur de chacun.

Les droits naturels : Le droit à la vie, à la liberté et à la propriété sont appelés parfois les droits naturels. La vision des droits naturels consiste à donner à chaque personne le libre choix de leur décision selon leur jugement qui diffère d'une personne à l'autre sans quelqu’un pour les forcer à prendre ou ne pas prendre une décision quelconque.

B) L’approche éthique de Schrage est portée sur l’utilitarisme de l’acte. Schrage soutient que de dissimuler le congédiement des employés à la fin du contrat pour ne pas perdre de rendement de leur part, est un geste acceptable et nécessaire pour l’entreprise. Il est, donc utile pour l’entreprise de ne pas divulguer ces informations. L’approche éthique par Renouard est basée sur le terme gagnant/gagnant, c’est-à-dire que tous les moyens pour accroître son entreprise ne sont pas nécessairement bons pour y arriver. Le but est de cette approche est bien sûr de faire ce qui nous semble utile pour arriver à ce qu’on veut, mais avec une certaine limite. Beaucoup d’entreprise prône des valeurs haut et fort comme l’intégrité et les oublie rapidement pour prioriser la croissance de leur entreprise. Dans cette étude, on fait référence à un dirigeant qui cache le congédiement de ses employés pour qu’ils continuent d’être productifs. Selon ces deux différentes approches, le problème n’aurait pas été traité de la même façon. Schrage lui trouve cela acceptable et profitable pour l’entreprise, Renouard y aurait sans doute été pour l’approche gagnant/gagnant, c’est-à-dire d’expliquer aux employés la situation et de les motiver en leur offrant une prime de départ par exemple. L’opinion des lecteurs s’apparente beaucoup plus à l’approche de Renouard. La plupart des lecteurs disent que d’avoir caché ces congédiements est inacceptable et que la confiance entre les employés et l’employeur ne sera plus la même et que des effets négatifs à long terme peuvent s’en faire ressentir.

Question 3 (Deuxième cas)

On peut associer le fait de penser que ce qui est éthiquement juste est bon pour les affaires à l'approche de l'éthique stratégique. Cette approche est aussi mieux connu sous le proverbe anglais « good ethics is good business ». Une simple traduction de ce proverbe nous permet rapidement de comprendre que cela ressemble beaucoup à la pensée de cette intervenante dans l'étude présenté. Deux défenseurs de l'éthique des affaires ont aussi écrit un ouvrage s'intitulant « la morale en affaires, clé de la réussite » Comme dans toute entreprise, bien sûr la croissance est une priorité, mais dans cette approche, la croissance ne s'atteint pas à n'importe quel prix. C'est pour cela que cette approche est celle qui s'apparente le mieux avec ce que pense l'intervenante, je pense que cela rejoint les même lignes de pensé.

Question 4 (Troisième cas)

A) La ligne directrice que j’ai choisi et qui je trouve rejoint le plus le cas présenté est : Demandez la participation des utilisateurs lors des étapes de la conception et des essais afin de leur fournir des systèmes sécuritaires et efficaces.2 Il est important que le client participe à tous les étapes de la conception afin d’éviter les pertes de temps et d’argents. Il faut que l’utilisateur

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