Socialisation et alimentation
Compte rendu : Socialisation et alimentation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Fighto • 26 Septembre 2020 • Compte rendu • 609 Mots (3 Pages) • 647 Vues
Luca DELABY 2nd7
Question 1)
Les valeurs et les normes associées à l’alimentation sont différentes selon les milieux sociaux. En effet le document 1 nous montre que pour les catégories aisées, « bien nourrir son enfant » revient à lui proposer des produits jugés sains. En revanche, pour les catégories modestes, l’important est d’offrir une abondance d’aliments nourrissants pour conjurer la peur de manquer.
Question 2)
Pour les professions et catégories socioprofessionnelles « + », la part de ceux qui consomment des produits biologiques au moins une fois par mois voir plus est de 81%.
Question 3)
Le document 2, nous montre que :
- pour les professions et catégories socioprofessionnelles « + », la part de ceux qui consomment des produits biologiques au moins une fois par mois voir plus est de 81%.
- pour les professions et catégories socioprofessionnelles « - », la part de ceux qui consomment des produits biologiques au moins une fois par mois voir plus est de 68%.
En définitive, le document 2 nous montre que les PCS + sont plus nombreux à avoir consommer des produits biologiques au cours des 12 derniers mois (81%) que les PCS – (68%).
Comme je l’ai expliqué dans la question 1, le document 1 nous montre que pour les catégories aisées, « bien nourrir son enfant » revient à lui proposer des produits jugés sains. En revanche, pour les catégories modestes, l’important est d’offrir une abondance d’aliments nourrissants pour conjurer la peur de manquer.
Sachant que les produits biologiques sont considérés comme des produit sains, nous pouvons donc conclure en disant que les valeurs et les normes associées à l’alimentation sont différentes selon les milieux sociaux.
Question 4)
Le document 3 est un diagramme montrant le surpoids et l’obésité chez les enfants de CM2 en 2015 selon leur origine socioprofessionnelle.
Ce document nous montre qu’il y a plus de surpoids et d’obésité chez les enfants ouvriers (5,5% sont en surcharge pondérale et 21,5% sont obèses) que chez les enfants de cadre (1,4% sont en surcharge pondérale et 12,7% sont obèses).
Question 5)
J’ai expliqué dans la question 1 que pour les catégories modestes, « bien nourrir son enfant » est d’offrir une abondance d’aliments nourrissants pour conjurer la peur de manquer.
J’ai constaté dans la question 4 qu’il y a plus de surpoids et d’obésité chez les enfants ouvriers que chez les enfants de cadre.
Sachant que beaucoup manger peut entrainer une surcharge pondérale ou de l’obésité, nous pouvons dire que le document 1 peut expliquer au moins en partie le constat fait à la question 4.
Synthèse
La position dans la hiérarchie sociale peut-être à l'origine d'une mauvaise nutrition.
En effet, le revenu d'un individu contribue fortement au choix et aux pratiques alimentaires. Cet individu accorde donc plus ou moins d'importance à la qualité de son alimentation.
Par exemple la minorité des consommateurs de produits biologiques en 2017 était des personnes de profession et catégorie socioprofessionnelle « - » qui regroupe 68 % de consommateurs.
Par ailleurs l'origine socioprofessionnelles et l’un des facteurs de l'obésité chez les enfants. Effectivement, selon la profession exercée par les parents, les enfants adoptent des habitudes alimentaires différents, qui participe à leur évolution physique. Par exemple, en 2015, 4 fois plus d'enfants d'ouvriers étaient en situation d'obésité par rapport aux enfants de cadres.
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