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Idées du document 11

La destruction de la banlieue est une possibilité de restructuration, afin de disposer d’un quartier neuf.

Les habitants des banlieues tiennent à leurs quartiers, et voient ces démolitions comme un nouvel affront, car leurs quartiers sont devenus dégradés par le manque d’entretien des services publics, et non seulement par le vandalisme présent.

Une partie de la population vivante dans ces quartiers ont aussi la peur que c’est une manière détournée de les délocaliser de leurs cités.

La reconstruction permet aussi de créer des bâtiments plus homogènes et en harmonies dans leur environnement urbain.

Les bâtiments sont très hauts mais peux denses, ce qui de fait, quand ils sont alignés donne une impression d’écrasement, cela fait défaut dans l’intégration urbaine et social.  

Les rénovations doivent tenir les même règles d’urbanisation qu’en centre-ville, et permettre une meilleure intégration sociale avec les autres quartiers.

Ces reconstructions ont aussi but de créer des zones attractives et par conséquents créer l’offre urbaine, pour cela création de projets : sportifs, culturels, sociaux, sanitaires, associatifs et cultuels. Cela permet aussi de créer l’offre et la demande et donne une nouvelle dynamique à ces quartiers.

Problématique :

Quels sont les enjeux et les problèmes que suscitent la reconstruction et la destruction de banlieues et quartiers dit difficiles ? Comment enrailler les mouvements de violences dans les banlieues, comment gérer la violence dans les banlieues et favoriser la réhabilitation  

 Doc 7

  Le problème de leurs surnombres dans leurs habitations, le manque d’espace et par conséquent de vie privé, le sentiment d’inconfort et d’injustice car elles n’ont que peu de liberté.

Pour ces jeunes filles la rue est un espace qui leurs permet de fuir un espace trop étroit tant sur le plan géographique que moral : elles ont besoins de libérer leur énergie

Les parents se servent de la « moral » pour justifier leurs actes et leurs situations car ils n’ont que ça pour faire pression.

La danse est un moyen pour ces jeunes filles d’extérioriser leurs sentiments, de se sentir libre.

Elles utilisent les violences verbales et physiques pour répondre des remarques des passants qu’elles sentent méprisantes. Elles refusent d’être jugées, elles défenLa violence physique est un autre exutoire à leurs besoins de sentir exister, leurs colères est dirigée contre celles qui possèdent tout ce qu’elles n’ont pas, elles expriment ainsi leurs sentiments d’exclusions

 travail à faire :

Théo Membré

Le téléphone rassure les gens car il permet d’entrer en communication immédiate avec la personne et de lui parler.

1/ Ce n’est qu’une paraphrase du texte, elle n’exploite qu’un infime partie de l’idée général

3/ Il n’est pas marqué qu’il est indispensable d’avoir un téléphone, on ne nous met pas non plus sur cette piste.

B. Les termes soulignés sont péjoratifs

Francis Ponge trouve le téléphone désagréable par son bruit son fonctionnement, mais il le rend tout de même rassurant et très utile pour communiquer.

DOC 2

Le téléphone portable est un outil qui rassure les hommes grâce à ses possibilités et sa facilité d’utilisation.
Le téléphone portable peut risquer de nous créer de fausses urgences.
Il faut savoir faire la part des choses avec l’utilisation de notre téléphone, rester accrocher a son téléphone a plus de chance de nous créer des urgences ou des angoisses que de l’utiliser raisonnablement et à bon escient.

DOC 3

Le téléphone nous a permis d’être en constante connexion.
Il s’apparente désormais comme un nouvel outil informatique tout en gardant son aspect de communication et de partage.
Il permet de nous construire une identité parallèle grâce à des photos des messages etc. Il devient notre nouvelle empreinte. Ainsi qu’un nouvel espace grâce à ses application de géolocalisation et d’orientation.
Il a créé un nouveau marché totalement accessible et qui peine à trouver ses limites, allant jusqu’à la possibilité d’espionner nos moindres faits et gestes du plus singulier au plus intime, changeant ainsi notre rapport au monde

Introduction

Les habitants de banlieue ont un grand sentiment d’exclusion social, ils ont l’impression d’être totalement stigmatisés. Le sociologue L Mucchielli dans son essai « Quand les banlieues brûlent, retour sur les émeutes de novembre 2005 » nous fait part de cette image de discrimination et d’insécurité que reflète et subisse les banlieues. L Miano dans son texte « filles du bord de ligne » nous fait le portrait d’une vie de jeunes filles habitants dans un quartier difficile. Les banlieues sont désormais sujettes à des projets de réhabilitations, J-P Defawe dans son article « urgence des banlieues : la réponse des architectes » expliquera les enjeux et la réalisations de ces projets, comme il a été le cas à Rezé ou se trouve la « cité radieuse », voir photo.

Doc 2

Le travail pour certains est une contrainte .
Des personnes ont plaisirs à travailler, et se sentent utile à la société.
Travailler permet de s’enrichir des autres et de découvrir de nouvelle culture.
La possibilité d’une formation continue permet aux salariées de de progresser professionnellement et culturellement.
Le travail peut devenir un lieu de rencontre et permettre des sorties extra professionnelles entre collègue, clients voir fournisseurs

Doc 3

Les souffrances au travail remettent en question les aspects bénéfiques de celui-ci.
La psychologie positive et la mise en place d’enquêtes permettent de meilleurs conditions de travail.
Les études montrent que plus l’entreprise est grande, plus l’ambiance de travail se dégrade.
Les personnes qui se sentent bien dans leur entreprise sont plus investis et dont mieux dans leur travail.

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