La princèsse de clèves

La rencontre

I- Une rencontre singulière

1) Les marques du romanesque

CADRE- Rencontre dans un bal à la cour pour les fiançailles d'une princesse royale

- Les préparatifs :

- Mme de Clève avait passé « tout le jour des fiançailles chez elle à se parer »

- Nemour : « le soin qu'il avait pris de se parer augmentait encore l'ai brillant qui était dans sa personne »

2) Le conte

- admiration de tous, comme lors de sa présentation à la cour « on admira sa béauté et sa parure »

- Nemour ; tout le monde d'écarte devant le duc « à qui on faisait place »

- métaphore «  il s'éleva dans la salle un murmure de louanges » –- union amoureuse

II- mode de narration complexe

1) alternance et multiplicité des points de vues

Selon le déroulement de la rencontre, le N omniscient alterne les points de vue et pénétre tour à tour, et plus ou moins profondément, dans la conscience des différents personne

-1 p ; MDC voit un inconnnu qu'elle identifie auccitot comme nemours. Le lecteur le découvre avec elle

-2p : Nemours voit MDC et lui ne cache pas son admiration.

- 3p : le dialogue = échane de compliments galant par l'intermédiaire de la reine dauphine + le fait de nous dévoiler les pensée intimes de MDC, montre le mensonge lorsu'elle dit ne pas reconnaître Nemours

- 4p ; pt de vue adopté = celui de Nemours après la séparation du couple

2) différence de traitement entre les de ux héros

- transparence du duc : aisance de Nemours, il est parfaitement conscient du coup de foudre..

- opacité de la princessse : N= parle à l'impersonnel « il était difficile de n'être pas surprise ... »

et a recours à la modalisation « elle parraissait un peu embarrassée »

III) le déchiffrement des signes

1) regard lucide du chevalier de guise

- il est amoureux et la jalousie éguise son regard «  une souleur sensible »

2) regard de MME de chartres

- Mde clève à raconté le bal à sa mère

Le drame est lancé. Dans ce combat les positions sont inégales : plus un homme a d'aventure plus il est glorieux alors que pour les femme une seule aventure coute à sa réputation. Cependant, même si apparement ils sont fait l'un pour l'autre « se voyant ... », il sont en réalité mal accordés : N est don juan et le princesse un être épris absolu.

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