Le Roi de France, « ses pouvoirs », ses sujets et l’appareil monarchique
Mémoire : Le Roi de France, « ses pouvoirs », ses sujets et l’appareil monarchique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nicola Lopez • 22 Septembre 2021 • Mémoire • 2 816 Mots (12 Pages) • 905 Vues
Cours N°3 Le Roi de France, « ses pouvoirs », ses sujets et l’appareil monarchique
Les portraits : figuration des souverains, il y a une volonté d’image = pvr « la vague des portraits »
D’ailleurs on choisis ses princesses en fonctions des portraits (Tinder de l’époque XD )
La période après la guerre de 100 ans est une période de dév pour la monarchie fr (la fusée est lancée avec Charles 7 et Louis 11 mais surtout François 1er qui a l’avantage de gouverner longtemps mais qui faisait face à Charles 8 et Charles Quint)
Quels sont les évolutions du pvr du Roi au sens de gouvernement sur les H et les sujets ? (cadres intimement religieux, cérémoniel [essayer de montré qui ont est]) > depuis Clovis (mort 517) ces pvr sont en évolutions (Clovis n’est pas Roi mais tout le monde se réclame de lui)
On va découvrir les rois dans leurs dimensions publiques et pv
Ces Rois sont sacrés = pvr religieux ils sont des égaux de dieu
‘’ > se dotent d’appareils gouvernementaux qui progresse ( sur qui ? Des sujets ? Hay dialogue ? Oui à travers certains codes (états généraux) )
Absolutisme / Monarchie Absolue : L'absolutisme au XVIe siècle, besoin de la société
Au XVIe siècle, apparaît certainement l'idée d'un absolutisme royal. Le roi incarne l'idéal national et possède les attributs traditionnels de la souveraineté. À ce moment, l'idée d'absolutisme exprime principalement le fait que le roi a réussi à éliminer les pouvoirs, féodaux et autres, qui limitaient en droit et en fait son autorité et ses possibilités d'action. Les anciennes conceptions de la monarchie ne sont pas éliminées, mais il s'y superpose l'idée d'absolutisme à l'encontre des anciennes idées de limitation.
L'absolutisme naît du besoin de la société elle-même ; il semble à tous nécessaire d'avoir un pouvoir puissant à la tête de la société, pour diverses raisons : multiplication des guerres engageant des royaumes entiers, guerres intérieures, conflits des grandes familles seigneuriales risquant de mettre en jeu l'unité du royaume, conflit entre la bourgeoisie riche et la noblesse qui, toutes deux, appellent le roi comme arbitre.
Toutefois, durant cette période, l'absolutisme affirmé est limité par l'existence des corps et communautés, des contrats, coutumes, privilèges. D'autre part, cette affirmation d'absolutisme n'est pas contradictoire avec les doctrines dominantes de l'humanisme et de la Renaissance : l'homme devenu mesure de toute chose tend à s'incarner dans le type achevé, exemplaire, de l'homme : le héros. C'est exactement cela que le roi va représenter. Il est l'homme au sommet de sa puissance et de son action : il mérite qu'on lui laisse le pouvoir ; on proclame le roi doté de la toute-puissance ; les lois sont formulées selon le « plaisir du roi » (elles n'ont pas besoin d'être fondées sur autre chose que la libre volonté de celui-ci). L'attentat à la toute-puissance royale est déjà qualifié de sacrilège.
sur InternetLa monarchie idéale du XVIIe siècle contre la féodalité
À partir du XVIIe siècle, on assiste à l'épanouissement de l'absolutisme. On peut dire qu'à cette époque la notion dépasse même celle de souveraineté. Mais à ce moment, État absolu ne veut pas dire despotisme ou tyrannie. Les auteurs contemporains opposent régulièrement les deux. L'État est absolu en ce que le pouvoir politique agit sans contrôle. Les sujets ne peuvent demander compte des actions du roi. Le roi détient une puissance parfaite et entière qu'il ne partage avec personne. L'absolutisme est, au sens strict, pour cette période, la négation de la féodalité.
Mais ce pouvoir absolu n'est pas despotique, car le roi reconnaît lui-même sa position : le roi n'est pas au-dessus de l'État. À la limite, il s'assimile à lui, mais cela signifie qu'il en est le « premier serviteur », et qu'il ne peut agir selon sa fantaisie. Il est tenu de respecter ce que nous pourrions nommer des règles d'action : d'un côté, il doit ordonner son pouvoir à la justice, de l'autre, il doit user de sa souveraineté « selon la nature de celle-ci ». Formule que les juristes du moment analyseront méticuleusement. Dans une certaine mesure, on peut dire que l'établissement de l'absolutisme est une réalisation d'une image de la monarchie idéale que théologiens et légistes avaient esquissée aux XIVe et XVe siècles, en face de la féodalité et contre elle.
Mais les doctrines de l'absolutisme servent, au XVIIe siècle surtout, à expliquer et justifier la pratique de l'État autoritaire, ou bien le besoin que l'on en ressent, comme en Angleterre avec Hobbes.
Certes le Roi à + de pvr, et il se dév, donc les gens ne sont pas content > mais la société est féodale. Il y a la taille par ex. (impôts). Le roi est vue comme absolue mais ce n’est pas négatif, car au yeux de la société il permet l’unité.
Pourtant le Roi n’a pas vrmt de pvr
Car un sujet du roi = sujet du seigneur, de l’Église.
Le roi essaye donc de s’accaparer seul ces sujets.
I) Le Roi De France, grandeur et exaltation
II) Le Roi De France, le sacré et le miraculeux
III) Le Roi De France et la poursuite de la construction de l’État (Féodal ? Royal?)
IV) Le Roi De France et ses sujets
[pic 1]
I) Le Roi De France, grandeur et exaltation
Au XVI° s > apparaît idée absolutisme (qui connaît son apogée sous L XIV)
Le Roi = 1 idéal de souveraineté qui se dirige vers la Nation FR mais ce n’est pas encore la France
On est sujet du Roi, et pas d’une Nation mais on habite une Patrie/Province
Absolutisme : fait que le Roi veut éliminer la féodalité et donc gagne des territoires (ex du Duc De Bourgogne)
Alors même que les pvr féodaux limités ceux du Roi.
Les anciennes conceptions sont encore là, mais il y a des évolutions tout de même comme là.
Ex : Entrée d’Henri II à Rouen > sens cérémoniel du pvr qu’il veut exercer.
La société conteste > mais c’est la mobilité normale de la société
Contester = tester > en latin « témoigner » donc contester = témoigner contre
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