Culture générale devoir 2
Cours : Culture générale devoir 2. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Fatimata. Touré • 19 Mars 2019 • Cours • 3 632 Mots (15 Pages) • 829 Vues
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Rédigez votre texte : 1.1) Le premier document est un article argumentatif , paru le 17 mars 2016 dans le quotidien L'Humanité et signé par Françoise Dumont , présidente de la ligue des droits de l'Homme adressé à la ministre de l’Éducation national Najet Vallaud-Belkacem. L'auteur dénonce le non respect du droit à l'éducation des enfants roms qui sont expulsés par l’État et les collectivités qui par conséquent sont privé du droit à la scolarisation. L'auteur dénonce le non respect du droit à l'éducation des enfants Roms par la France , alors que c'est un droit fondamentale reconnu par la Convention internationale des droits de l'enfant , et ratifié par la France qui à l'obligation de faire scolarisé chaque enfant qui est sur son territoire. Effectivement les familles roms sont très souvent expulsés et cela dans des conditions déplorables. Pour que la scolarisation des enfants soient possible il faudrait que l’État agisse en déterminant les familles qui ont des enfants en âge d'être scolarisé et les aidés dans leurs démarches. Cependant ce n'est pas le cas ce sont les associations qui scolarise les enfants et viennent en aide aux familles. Ces scolarisations portent leur fruit puisque les enseignants soulignent les progrès de ces enfants. Mais leurs progrès sont détruits par les expulsions ininterrompus par les collectivités locales et ce de façon inhumaine , en plein hiver et en milieu d'année scolaire . Ce qui par conséquent met en péril leur scolarité et à terme leurs intégrations dans le marché du travail. Ces expulsions sont aussi dénoncé par des organisations internationales qui estime que cette politique met en péril la scolarité des enfants ainsi que leur suivi médicale et leur intégration dans le milieu du travail. De même que l'UNICEF met en évidence que si la majorité des enfants roms ne sont pas scolarisé , ce n'est par opposition des parents mais plutôt à cause des municipalités qui ne veulent pas une installation durable des roms dans leurs villes. Pour finir , Françoise Dumont demande le respect au droit à l'éducation pour les enfants roms. Droit auquel aucune discrimination ne doit être faite. 1.2) Le deuxième document comporte une photographie illustrative de Martin Colombet, paru le 16 septembre 2015 dans le quotidien Libération. Elle est accompagnée d'une article de presse informatif de Marie Piquemal, publié dans le même quotidien et à la même date. Cet article relate le quotidien difficile d'un enfant rom , Slavi ainsi que de sa famille qui après avoir été expulsées de plusieurs campements , vie désormais sous une tente au bord de la route à Bobigny. Dans cet article Marie Piquemal nous informe le parcours d'une famille rom bulgare composé de quatre personnes dont 2 enfants qui après leur expulsion d'un bidonville à Bobigny , c'est retrouvé dans divers endroits. D'abord une voiture, ensuite une caravane et maintenant sous une tente au bord e la route d'une zone industrielle de Bobigny. Ce qui est très dangereux ,vu le passage des voiture. Cette famille qui va de rue en rue est chassée à chaque fois et la police les menaces s'ils ne partent pas de faire placer leur fille de 6 ans. Un médiateur d'une association qui aide à la scolarisation des enfants roms expliquent la détresse de la mère de famille. Cet article est accompagner d'une illustration . C'est une photographie montrant Slavi assis dans une tente qui lui sert à lui et à sa famille de maison. On peut voir que cette tente est à même sol sur le bord du trottoir. Dans cette tente il 'a des vêtements éparpillés et un matelas sur lequel il est assis. Slavi regarde sa peluche , ce qui fait encore de lui un enfant , un enfant qui grandit dans des conditions dégradantes sous le regard de l’État Français qui n'accore aucun respect à sa communauté. 1.3) Le troisième document est un article de presse informatif de Juliette Bénabent, paru dans l'hebdomadaire Télérama du 23 février 2016 . L'auteure nous décrit la visite de Genevieve Avenard en Février 2016 qui est charger de veiller aux respects des droits des enfants dans la jungle de Calais , à la veille du démantèlement de la partie Sud du bidonville par les autorités Française. Tout d'abord la journaliste nous relate les faits ayant eu lieu précédemment dans la jungle de Calais, qui est un bidonville où réside des migrants de différents origines. Le tribunal de Lille a décidé d’en démanteler la partie Sud, en dépit d'un appel fait par des migrants et des associations de défense de migrants qui redoutent que cette évacuation fragilise encore plus les jeunes mineurs qui finiront dans la nature sans sécurité . Les autorités ont promis de ne pas faire intervenir les forces de l'ordre dans un premier temps mais cependant on remarque l'omniprésence des CRS dans le camp. Geneviève Avenard, une personne envoyée par le Défenseur des droits, vient vérifier si les droits des mineurs sont respectés pendant l'évacuation. Cette visite fait suite à une précédente qui avait dénoncé des conditions de vies inacceptable que le ministère de l’Intérieur avait très mal accueilli. Par la suite des améliorations ont été faites, un second repas quotidien, plus de place dans les centres et un projet d’école pour les mineurs est en cours de construction. Également un nouveau Centre d’Accueil Provisoire a été mis en place . Ce sont des conteneurs qui disposent de dortoirs et une salle d’accueil où sont accueilli des enfants afin qu'ils puissent jouer . Cependant malgré le nombre de place encore libre ces conteneurs ne permettent pas de prendre une douche, ni de cuisiner et il n’y a pas d’eau courante. Dans le bidonville il y' aurait plus de 445 mineurs dont la majorité serait isolés . De plus parmi ces jeunes isolés il y' en aurait de très jeune. D'autre part un réfugié nigérian à installer une école , gérée par une association et des enseignants, tous bénévoles, qui y donnent des cours. Les conditions y sont ahurissantes puisque des couvertures chauffent les murs . Certaines notions essentielles ayant été oubliées tel que le temps et l'espace , dedans les enfants les redécouvrent et y apprennent le français ainsi que l'anglais dans l'espoir pour la plus part de pouvoir vivre un jour en Angleterre. Les bénévoles redoutent que si la jungle est détruite que l'école le soit également ainsi les enfants se retrouveraient totalement à la rue. Après toutes ces constatations effarantes , la défenseure des enfants exige la création d'un local qui permettrait d'accueillir les mineurs qui ne souhaitent pas rester en France . Pour elle le démantèlement, ayant été mal préparé, risque juste disperses les enfants sans qu'on sachent ce qu'ils deviendront et être ainsi victime de réseaux criminels. Enfin le climat politique actuel étant au populisme , chaque pays essaie de fermer ses frontières ce qui empêche la protection des mineurs qui sont les plus vulnérables. 1.4) Le quatrième document est un article informatif publié en mars 2016 dans la revue « Plein Droit » de l’association Gisti qui vient en aide aux immigrés. L'association se penche sur la disparition de jeunes migrants encore mineurs, arrivés ces deux dernières années sur le territoire Européen , et démontre la responsabilité des États européens, en s'intéressant à la France qui contribue largement au phénomène. Fin janvier 2016, plusieurs articles de presse font part de la disparition depuis 2 ans de 10 000 enfants migrants dont la majorité seraient isolés , recensés à leur arrivée en Europe. Un responsable d’Europol, la police européenne, à déclarer ses disparitions et évoque le risque d’exploitation de ces enfants non suivis par des réseaux criminels, la presse s’est emparée de la nouvelle comme un scandale de trafic sexuelle, de trafic d'organes et autres faits dramatiques .Ce scandale cache une toute autre réalité. En effet aucun pays Européen n'accepte pas ces mineurs sur leur territoire et refuse par conséquent de les protéger . Pourtant pour en retrouver certains qui sont rentrés pour la plus part d'Italie , il suffit d'aller dans une association parisienne qui s'occupe des mineurs isolés qui est l'Adjie . Certains mineurs qui y sont , sont sûrement déclaré disparu par Europol . D'après leurs témoignages ils ont été recensé d'une manière ou d'une autre sans savoir exactement par qui et aucun d'entre eux n'a subit les actes relataient dans les journaux . Néanmoins ils ont subis de nombreux épreuves lors de leurs voyages pour venir en Europe en passant par l'Afrique , puis l'effrayante traversée en bateau et une fois en Europe ils ont dû se débrouiller pour subvenir à leurs besoins. Ces mineurs veulent être loger, nourris et scolarisés . La moitié de ces mineurs se vois refusés le droit d'asile en France ou dans d'autres pays européens au motif qu'ils mentiraient sur leur âge. De même que peut-être plus de 10 000 mineurs font une demande d'asile que l'aide sociale à l'enfance ou le juge des enfants rejette. Aucune donnée fiable n'existe sur le nombre de mineurs qui se voit refuser leur demande d'asile donc ces chiffres ne sont pas fiables tout autant que ceux d'Europol. Les mineurs dont la demande est acceptée doivent se contenter d'être héberger dans des hôtels miteux , de ticket restaurants délivrés à la semaine et quelques un sont scolarisés mais pas tous. Cette situation pousse les mineurs à reprendre la route et ainsi vont se retrouver dans des bidonvilles précaire tel que la jungle de Calais. . Par conséquent on parle de beaucoup d'enfants disparus mais on voit que tout est fait pour qu'il en soit ainsi. 2) Le thème global porte sur les conditions de vie extrêmement difficiles des enfants réfugiés arrivés en Europe à l'heure d'aujourd'hui, peu importe d'où ils viennent, la France bafoue leur droits les plus élémentaires. Des migrants qui viennent d'endroits différents. Ce sont de jeunes qui peuvent aussi bien être des Roms venus d'Europe comme la famille de Slavi originaire de la Bulgarie , comme le montrent Marie Piquemal ainsi que Françoise Dumont. Comme ils peuvent de d'autres régions du monde sans famille tels que le jeune irakien de 7 ans rencontré par Juliette Bénabent das la jungle de Calais ou encore les adolescents africains rencontrés par le Gisti à Paris. Sans famille ces mineurs se retrouvent isolés. Bien qu'en général se sont des adolescents que l'on retrouvent dans ces bidonvilles ou dans la rue, en France. Cependant ils peuvent aussi être très jeune notamment chez les Roms, comme le démontre Françoise Dumont et Marie Piquemal. Des parcours différents mais des difficultés similaires. Effectivement, concernant les Roms,leurs quotidiens est rythmé par des expulsions à répétition et une errance d'un lieu insalubre à un autre encore plus insupportable voir dangereux comme nous le relate Marie Piquemal avec la famille de Slavi qui est expulsé par les autorités Françaises à chaque fois et qui aujourd'hui vie sur le bord d'une route permanentes d’un lieu de précarité à un autre lieu souvent pire. De même comme nous le relate le Gisti ,les adolescents africains qui durant leurs parcours ont subit un voyage éprouvant à travers leur continent, ensuite une traversée effrayante de la Méditerranée et enfin la précarité dans laquelle il vivent une fois arrivé en Europe. Si certains s'arrêtent dans les provinces en France ou à Paris dans l'espoir de trouver un logement, de la nourriture et être scolarisé selon le Gisti, d'autres se retrouvent bloqués à Calais dans l'espoir de rejoindre l'Angleterre comme nous le dis Juliette Bénabent. Certains d’entre eux échouent dans la jungle de Calais, selon Juliette Bénabent, où ils attendent leur passage en Grande-Bretagne. Une dignité non respecté par l’État. Ainsi l’État Français ne respecte pas les droits élémentaires qui permettent de maintenir la dignité humaine, aucun besoin de base n'est respecté. De jeunes enfants se retrouvent à vivre dans une tente installé à même le sol au bord de la route comme nous le décris Marie Piquemal tandis que d'autres vivent au milieu des flaques de boues à Calais selon Françoise Dumont . Dans les bidonvilles de Calais elle nous rappel la précédente visite des défenseurs des droits qui ont par la suite dû réclamer au ministre de l'intérieur de meilleurs conditions de vie pour les réfugiés pour qu'un deuxième repas leurs soit servi. Même si un centre d'accueil a été mis en place à la suite de cette réclamation , ce centre ne dispose pas d'eau courante qui permette de faire une douche ou encore de cuisiner. Encore plus grave des adolescents qui ont le droit d'asile et qui sont prise en charge par l'Aide sociale à l'enfance ou par un juge ,sont malgré tout dans des conditions épouvantables. En effet le Gisti nous explique qu'ils vivent dans des hôtels miteux et pour leur repas se retrouve avec des tickets restaurants distribué une fois par semaine. Le droit à l'éducation. C'est un droit inscrit dans la Convention internationale des droits de l’enfant, signé par la France, qui oblige comme nous le rappelle Françoise Dumont , à offrir une éducation scolaire à tout enfant âgé de 6 à 16 ans, quelles que soit son origine et sa situation . Malgré ce texte la France ne respecte pas ce droit , notamment vis à vis des familles Roms , en expulsant sans cesse les familles ce qui empêche leur inscription à l'école ou interrompt leur cursus scolaire. D'ailleurs l'UNICEF dénonce le fait qu’une petite moitié d’enfants Roms sur le sol français reçoivent une instruction, sans que cela ne soit imputable à leurs parents. C’est de cette façon que le petit Slavi est passé d’un bidonville à une voiture puis à une caravane pour atterrir dans la rue sous une tente au bord de la route.De même que dans le bidonville de Calais, Juliette Bénabent nous parle d'une école qui doit être construite mais aucun permis de construire n'est encore signé ce qui démontre encore la passivité de l’État pour offrir une scolarité à ces jeunes . En attendant la seule école existante a été installé par un migrant au lieu que ce soit l’État ou les collectivités territoriales qui le fassent. Pour finir le Gisti nous révèle que même les adolescents suivis ne sont pas pour autant scolarisés et la majorité de ceux qui font une demande d'asile sont rejetés car l’État doute de leur âge ce qui leur empêche ainsi d'être scolarisé. La France ne respecte aucun de ses devoirs vis à vis des réfugiés. En effet au lieu qu'on trouve dans la jungle Calais des travailleurs sociaux dépêchés par l’État pour venir en aide aux migrants, Juliette Bénabent nous dit qu'on y voit beaucoup de camion de CRS . Cette présence policière permet d'exercer une pression sur eux ce qui est confirmée par Marie Piquemal qui nous relate le chantage fait par les policiers sur la famille de Slavi afin qu'ils ne reviennent pas sur leur lieu d'expulsion. Ainsi le policier les menaces de faire placer leur petite fille si ils ne partent pas. Elle nous résume aussi la façon dont les Roms sont expulsés. Effectivement cela se passe dans des conditions déplorables, ils n'ont aucune considération ni respect pour les Roms. Ces traitements incessant on des conséquences psychologiques sur la mère de Slavi. Par ailleurs ces expulsions viennent du fait que les collectivités locales éprouvent une gêne vis à vis de la communauté Roms, ils ne veulent pas les voir s'installer durablement sur leur territoire . Et Françoise Dumont affirme que ce rejet concerne tous les partis politiques. Selon Juliette Bénabent ce climat de replis sur soit est une préoccupation européenne, c'est ainsi qu'on y voit de jeunes enfants vivants dans la rue sous une tente au bord d'un trottoir avec leur famille sans que personne ne s'en préoccupe. Un manquement aux devoirs et droits qui peuvent avoir de lourdes conséquences. Dans un premier temps le fait de vivre dans la rue comme la famille de Slavi est dangereux et empêche le suivi médical des enfants comme nous l'explique Françoise Dumont . Cette façon de vivre précaire met en péril toutes les acquisitions scolaires fait jusqu'ici puisque les expulsions à répétitions ne permettent pas d'avoir une scolarité suivi et empêche leur insertion professionnel donc les isoles encore plus. De plus les dégâts psychologiques sur ces enfants doit être aussi considérer. Juliette Bénabent souligne l'oublie de tout repère pour ses enfants puisque ce sont enseignants bénévoles de l'école improvisée qui doivent leur apprendre à se situer dans le temps et l'espace . D'autre par les expulsions répétés ont pour conséquences des adolescents qui se retrouvent à la rue livrer à eux même . Ainsi un des responsables d'Europol évoque la disparition de 10 000 mineurs réfugiés une fois entré en Europe. Il craint que ces enfants deviennent la cible de réseaux sexuels ou de trafic d'organes. Or d'après le Gisti la plus part de ces enfants sont dans les rues européennes à la recherche d'aide de la part de l’État, ce qui est tout le contraire de ce que les médias relatent en parlant de réseaux criminels ou autres ce qui arrangent les politiques. Des associations se substitues au rôle de l’État. On constate que l'aide que reçoit ces migrants ne vient ni de l'Etat ni des collectivités locales mais des associations de défense de migrants ou d'enfants. La famille de Slavi rencontré par Marie Piquemal est suivi par un bénévole qui les accompagnes dans toutes leurs démarches administratives comme tous les autres Roms selon Françoise Dumont. Dans la jungle de Calais, la seule école qui y est, est une école non déclaré d’après Juliette Bénabent, mise en place par un migrant et gérée par une association où des enseignants bénévoles donnent des cours. De même qu'à Paris , c'est une association ,mis en lumière par le Gisti , qui vient en aide aux jeunes migrants qui sont à la rue . De plus des organismes mondiaux tels que l'UNICEF ou encore la ligue des Droits de l'Homme apportent un soutient légales à ces migrants puisque ces organismes envois des inspecteurs dans les pays comme la France pour leur rappeler le droit qu'on les migrants et les devoirs que la France à vis à vis d'eux. 2.2) La lettre de Françoise Dumont est la seule qui montre, de façon pratique, de quel façon un organisme tel que la Ligue des Droits de l’Homme, fait pression sur le gouvernement français en utilisant les médias. Elle démontre les conséquences des expulsions sur la scolarité des enfants Roms qui ne peuvent plus être scolarisé malgré leurs efforts scolaires. Elle rappelles les droits fondamentaux des enfants que en l'occurrence la France ne respecte pas , notamment le droit à la scolarisation mentionner dans plusieurs textes d'organisations mondiale et ratifié par la France. Quant à Marie Piquemal elle s’intéresse à un cas particulier en nous relatant le quotidien en particulier d'une famille Roms ce qui permet de voir la réalité des expulsions incessantes et les conditions dans lesquelles elles sont faites ainsi que les conséquences qu'il peut y avoir par la suite tel que la conséquence psychologique de la mère. Pour Juliette Bénabent en suivant la visite d'une représentante des droits des enfants elle nous démontre que ce que l’État présente comme un effort fait vis à vis des migrants à Calais est totalement insuffisant puisque les migrants sont toujours accueilli dans des conditions inhumaines. De plus elle est la seule a évoquer le populisme qui règne en Europe actuellement et le repli sur soit des européens. Enfin le Gisti apporte des éclaircissements sur la disparition de jeunes migrants que les médias ont mise en lumière en donnant des explications qui sont loin de la réalité et qui ne sont qu'un leurre pour masquer le rejet de la France vis à vis de ces jeunes réfugiés.
1. Leurs portraits (Docs 1, 2, 3, 4) 2. Des parcours différents mais des difficultés similaires(Docs 1, 2, 3, 4) II) Des droits non respectés 1. Des droits existentiels bafoués : être loger et nourris (Docs 1, 2, 3, 4) 2. Obligation scolaire reniée . (Docs 1, 3 et 4) 3. Des conséquences lourdes. (Docs 1, 2, 3, 4) III) De quel manière agissent les différents acteurs 1. Ignorance totale de l’État et des collectivités locales (Docs 1, 2, 3, 4) 2. Des associations se substitue au rôle de l’État. (Docs 1, 2, 3, 4). | Commentaires du correcteur : |
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