Algorithmique appliquée aux mathématiques
Cours : Algorithmique appliquée aux mathématiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Oyanna Lopez • 19 Mars 2020 • Cours • 821 Mots (4 Pages) • 629 Vues
Bonjour à tous ! Aujourd'hui, je vais vous présenter ma lecture d'un roman : « L'ami retrouvé », écrit par Fred Uhlman et paru pour la première fois à Londres en 1971. Dans une première partie, je vais vous exprimer mon avis concernant le thème de cette histoire. Dans une seconde partie, je vais vous présenter mon personnage préféré, ainsi que les raisons pour lesquelles celui-ci m'a plu. Dans une troisième partie, je vais vous citer un passage de ce livre qui m'a marqué, pour ensuite vous faire comprendre pourquoi je l'ai choisi.
Tout d'abord, ce roman m'a réellement captivé car j'ai toujours été, inconsciemment, attirée par l'affreuse histoire entre les Nazis et les Juifs. Ainsi, le fait de pouvoir connaître la vie d'un de ces derniers, à cette période là, m'a beaucoup intéressé. À certains moments du récit, j'ai pu remarquer la maltraitance engendrée envers les juifs, ce qui m'a également touché. Spécialement lorsque Hans a reçu, de la part de deux de ses camarades, une lettre en vers écrite dans le but de le brutaliser, avant son départ pour l'Amérique :
« Petit youpin, nous te disons adieu.
Puisses-tu rejoindre en enfer Moïse et Isaac.
Petit youpin, où iras-tu ?
Rejoindre les Juifs en Australie ?
Petit youpin, ne reviens jamais
Sinon nous te tordrons le cou. »
J’ai facilement constaté en lisant ce texte, ainsi qu’en notant leur façon d’injurier Schwarz, le profond dégoût éprouvé pour la descendance du peuple sémite, à cette époque. Pour lors, leur répulsion pour la religion juive m’a déplu, de même qu’attristé.
Ensuite, j'ai énormément apprécié Hans, un personnage passionnant. Premièrement, sa vision précise et compliquée d’un ami a été intéressante : « Il n’y avait pas, dans ma classe, un seul garçon qui répondît à mon romanesque idéal de l’amitié, pas un seul que j’admirais réellement, pour qui j’aurais volontiers donné ma vie et qui eût compris mon exigence d’une confiance, d’une abnégation et d’un loyalisme absolus. » Son attirance naissante envers le nouvel élève, répondant à ces nombreux caractéristiques, de même que ses efforts afin d’attirer l’attention du jeune Hohenfels, en essayant de se mettre en relief, ont été attachants : « Je saisissais l’occasion de me manifester chaque fois que j’avais quelque choses à dire. […] Mon second effort déterminé se déploya au cours des quelques heures consacrées aux exercices physiques. » Puis, son euphorie lorsqu’il a terminé de se balader, pour la première fois, en compagnie de Conrad a été, pareillement, touchante et amusante : « Quand je le quittai enfin, je courus sur le chemin du retour. Je riais, je parlais tout seul, j’avais envie de crier, de chanter, et je trouvai très difficile de ne pas dire à mes parents combien j’étais heureux, que toute ma vie avait changé et que je n’étais plus un mendiant, mais riche comme Crésus. » Finalement, son ambition rêveuse concernant son futur, où je me suis moi-même reconnue, a été fascinante : « Je ne souhaitais qu'une chose : voyager, et je croyais que je serais un jour un grand poète. »
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