A une passante, Les fleurs du Mal, Charles Baudelaire, 1857
Commentaire d'arrêt : A une passante, Les fleurs du Mal, Charles Baudelaire, 1857. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar frdfsg • 27 Janvier 2023 • Commentaire d'arrêt • 485 Mots (2 Pages) • 402 Vues
Lectures linéaires oral français
Texte 1 :
A une passante, Les fleurs du Mal, Charles Baudelaire, 1857
En quoi ce sonnet de Baudelaire renouvelle-il le thème de la rencontre amoureuse ?
Mouvement 1 : L’apparition de la passante et la fascination du poète (1 à 8)
Au terme de ce mouvement, la fascination du poète est plus qu’évidente. Pourtant, on entrevoit déjà la chute du poème : il ne s’agit pas d’une rencontre mais d’une expérience individuelle, la femme est une apparition quasi divine mais fugace, qui laisse le poète dans une situation de trouble intense qui va devenir désillusion dans le mouvement 2.
Mouvement 2 : La disparition de la passante et la désillusion du poète (9 à 14)
Au final, ce mouvement est l’occasion pour le poète de détourner et de renouveler le thème de la rencontre amoureuse : d’une vision divine, la femme devient objet de reproche, d’une fulgurance d’amour, le poète passe à un désespoir teinté de ressentiment.
Texte 2 :
A New York, Ethiopiques, Léopold Sédar Senghor, 1956 (vers 1 à 20)
Comment le poète parvient-il à transfigurer la ville par le langage poétique ?
Mouvement 1 : l’éloge de New York (vers 1 à 8)
Le mouvement met en évidence la fascination du poète pour cette ville qui le dépasse. Mais on voit déjà se dessiner un cheminement qui rappelle le poète à la triste réalité de New York. Désillusion progressive qui amène vers la deuxième partie du poème.
Mouvement 2 : le désenchantement du poète (vers 9 à 20)
Le cheminement du poète continue, et le désenchantement se transforme progressivement en révolte contre un univers artificiel et mort. Il s’agit pour le poète d’appeler la ville à rebattre au rythme d’une Nature oubliée.
Texte 3 :
Zone, Alcools, Guillaume Apollinaire, 1913 (vers 1 à 24)
Dans quelle mesure, dans cet extrait de « Zone », la tension entre tradition et évocation d’une vie moderne permet au poète de faire l’éloge d’une modernité poétique ?
Mouvement 1 : L’opposition passé/présent (vers 1 à 10)
Au terme de ce mouvement, on observe que s’opère une bascule du passé vers la modernité du poète. Dès le début du poème, le poète rompt avec la tradition poétique pour ne mettre en évidence que des symboles / emblèmes de modernité (poétique, architecturale, philosophique).
- Revendication de la modernité qui est mise en scène dans la suite du poème.
Mouvement 3 : L’évocation d’un monde moderne (vers 11 à 24)
Au terme de ce mouvement, on voit comment Apollinaire est passé d’une forme de tradition poétique à une poésie de la modernité. En mettant la ville au centre de ses évocation, il fait véritablement œuvre de modernité poétique.
Texte 4 :
Le Pont Mirabeau, Alcools, Guillaume Apollinaire, 1913
Comment le poète met-il en scène le passage du temps et la fuite de l’amour ?
Mouvement 1 : L’invitation à se souvenir (vers 1 à 6)
Mouvement 2 : La remémoration de l’histoire d’amour (vers 7 à 18)
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