Psy 1200 TN2

Chapitre 1            Groupe 1

Une théorie du développement de l’enfant est une explication du changement qui survient chez la personne au cours de son enfance. Elle a pour but premièrement de donner un sens aux faits observés et de permettre de les organiser. Deuxièmement, elle fournit une façon de voir sur  les conduites à avoir avec les enfants. En dernier lieu, elle sert à orienter la recherche.

Pour qu’une théorie soit satisfaisante, elle doit absolument reproduire fidèlement les faits réels de l’univers de l’enfant, tout en décrivant les événements passés et aussi prédisant avec certitude les événements futurs, elle est exposée d’une manière claire et compréhensive, elle est cohérente , logique et vérifiable, elle aide à solutionner des problèmes pratiques, elle accroît nos connaissances et elle économique.

La recherche dans le domaine de la psychologie de l’enfant a été stimulée par des questionnements. Tels que le rôle de l’enfance dans le cycle de la vie, qu’est-ce qui se développe chez l’enfant, les rôles de l’inné et de l’acquis, la nature fondamentale de l’humain et la manière que procède le développement.

Il y a un certain débat sur l’inné et l’acquis dans le développement. Selon Donald Hebb, le comportement serait influencé à cent pour cent par l’hérédité et à cent pour cent par son environnement.

Il existe trois courants sur la nature humaine. Soit le courant mécaniciste c’est-à-dire conçoit l’homme comme une machine, un ordinateur. Ou le courant organismique, l’homme est considéré non pas comme une machine mais comme un organisme vivant comme le sont les plantes et les animaux. Ou finalement le courant nativiste , que les bébés sont naturellement capables de reconnaitre les visages, d’apprendre le langage, d’interagir socialement, d’éprouver de l’attachement.  

Depuis tous les temps, on essaie d’inculquer certaines façons ou manières d’entrevoir les enfants, leurs éducations. Par exemple pour Locke, l’enfant dépend essentiellement de son environnement. Quant à Jean-Jacques Rousseau, l’enfant est un agent actif de son propre développement. Pour sa part, Darwin s’appuie sur un principe d’évolution important ; la sélection naturelle.

Chapitre 2                Groupe 1

Dans le corps humain, nos cellules appartiennent à deux grandes catégories. Soit les cellules de reproductions (ou gamètes) ou bien les cellules somatiques, c’est-à-dire les cellules qui forment les muscles, les os, les cellules nerveuses, etc. Les cellules somatiques se divisent par la mitose, c’est un processus par lequel chacun de 46 chromosomes contenus dans le noyau de la cellule se dédouble pour donner deux cellules complètes ayant chacune elles aussi 46 chromosomes. Quant aux cellules reproductives se divisent par la méiose, où chaque nouvelle cellule contient un seul chromosome de chaque paire étant dans la cellule mère.

Dans la conception, il y a la rencontre de l’ovule et du spermatozoïde dans les voies génitales de la mère d’où en résulte un zygote qui s’établira sur la paroi de l’utérus. Normalement, l’ovule doit être fécondé dans les 24 heures suivant sa libération tandis que la vie d’un spermatozoïde est d’environ 48 heures dans le corps de la femme.

Le génome humain, étant l’ensemble des informations génétiques propres à un organisme, comprend deux types d’ADN. L’ADN nucléique qui est situé dans le noyau de la cellule et l’ADN mitochondrial qui se situe quant à lui dans les mitochondries à l’extérieur du noyau. Chaque molécule d’ADN est formée de deux longues chaînes d’unités appelées nucléotides constitués à leur tour de trois molécules : un sucre, un groupement phosphate  et une base azotée (soit la guanine, l’adénine, la cytosine ou la thymine).

Dans la division cellulaire où les chromosomes et les molécules d’ADN se dédoublent afin de procéder au développement des structures corporelles, la réparation des tissus ou la production des cellules sexuelles.

Les parents transmettent à leur enfant une série de caractères anatomiques par les gènes. Chaque parent transmet la moitié de ses chromosomes à l’enfant. Si les deux parents transmettent le même caractère à l’enfant, l’enfant est dit homozygote par contre si les parents ne transmettent pas le même caractère, l’enfant sera hétérozygote quant à ce caractère. Le caractère apparent chez la personne se nomme le phénotype et la combinaison génétique sous-jacente à ce caractère est le génotype.

Dans la détermination du sexe d’un enfant, c’est le 23e chromosome du père qui détermine le sexe selon qu’il sera X ou Y. L’ovule quant à lui fourni toujours des X. Lorsqu’un spermatozoïde X féconde un ovule, il en résulte un zygote XX femelle, alors que lorsqu’un spermatozoïde Y féconde un ovule, il en résulte un zygote XY male.

Chapitre 3                          Groupe 3

Il existe plusieurs méthodes pour contrer l’infertilité dont l’insémination artificielle, ce qui consiste à injecter du sperme dans les voies génitales féminines afin de provoquer une conception, et ce au bon moment dans le cycle menstruel. La fécondation in vitro est aussi une autre méthode. Quant à elle, elle consiste à provoquer en laboratoire la fusion d’un ovule et d’un spermatozoïde et ensuite d’insérer l’œuf fécondé dans l’utérus. Habituellement, on dépose plusieurs embryons dans l’utérus pour maximiser les chances de succès.

Dans un accouchement naturel dit parturition, on constate trois grandes étapes. La première étape étant le travail. C’est la plus longue des étapes. Les contractions utérines et la dilatation des tissus du col sont le moteur de cette phase.  La deuxième étape correspond à l’accouchement proprement dit. Elle commence lors de la dilatation complète du col soit 8 à 10 cm et se poursuit avec la sortie du bébé. La dernière étape est l’expulsion des membranes et du placenta.

Pendant un accouchement, il peut arriver certaines complications. Lorsque le bébé se présente mal et qu’on ne peut changer sa position par le canal pelvien,  lorsque le crâne du bébé est plus large que le bassin de la mère ou qu’il y a un risque d’infection lors du passage, on procède à ce moment à une césarienne. Ce qui consiste à extraire le bébé en incisant le ventre et l’utérus de la mère et ce sous anesthésie totale ou partielle. Lors de l’accouchement, il peut avoir une pression excessive sur le crâne du bébé et causer une lésion cérébrale plus ou moins sérieuse. Si le bébé à naître a une mauvaise position, que la durée de l’accouchement est trop longue ou qu’il s’engage de façon transversale dans le canal le temps de passage peut se prolonger jusqu’à provoquer un manque d’oxygène ou anoxie.

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