La LGBT
Résumé : La LGBT. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lilou.richard • 7 Mars 2021 • Résumé • 1 091 Mots (5 Pages) • 401 Vues
PARLONS LGBT !
La LGBT qui concerne les lesbiennes, les gays, les bisexuels et les transgenres, peut s’avérer être plus compliquer que prévue. Le chemin pour arriver à faire son coming out (révélation par une personne de son homosexualité) n’est pas un sujet à prendre à la légère. En effet avec les parents, l’ambiance peut devenir tendue à la maison, ce qui peut être difficile à vivre à la longue. Ensuite avec les ami(e)s, cette révélation peur servir de vengeance ou devenir une gaffe, qui poussent à trahir les confidences. Enfin dans les milieux scolaires, les rumeurs peuvent causer du harcèlement, même si un loi protège les LGBT, il peut être compliqué de la faire cesser. La LGBT est tout de même plus acceptée dans la société mais celle-ci fait encore face à plusieurs stéréotypes.
La LGBT, plus respectée mais toujours pleine de stéréotypes.
Il ya 50 ans à New York, au Stonewall Inn, pendant 6 jours, des émeutes avaient opposé des policiers et des homosexuels excédés par des années d’exclusion.
Chaque année depuis, on célèbre la Pride aux États-Unis. Des festivités (rebaptisées «Marche des fiertés LGBT+»). Cette marche se tient ce samedi à Paris. L'occasion d'examiner comment la société française a évolué dans sa perception des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT).
Pour la Fondation Jasmin Roy Sophie Desmarais, l'Institut Française d’Opinion Publique (I.F.O.P)a interrogé plus de 3 000 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus. Elle a comparé leurs réponses à celles données sur les 50 dernières années. Si les Français sont aujourd'hui bien plus respectueux envers les LGBT, ils continuent toutefois d'adhérer à des stéréotypes à leur encontre.
Vivre sa sexualité d'une manière comme une autre.
Alors qu'en 1975, moins d'un quart des français considéraient l'homosexualité comme une « manière acceptable de vivre sa sexualité», ils sont 85% à penser aujourd'hui que c'est une «manière comme une autre». Seuls 72% de français sont prêts à «bien accepter» que l'un de leurs enfants soit homosexuel.
«Il y a une acceptation croissante du principe d'homosexualité, mais elle doit pas être confondue avec sa normalisation intégral», commente François Kraus, directeur du pôle politique de l'IFOP. En effet, 8% pensent encore que l'homosexualité est «une maladie que l'on doit guérir» contre 42% en 1975.
Les plus «gay friendly», envers les LGBT, sont «les femmes, les jeunes, ceux qui ont un statut social élevé, ou ceux qui ont des proches homosexuels dans leur entourage», nous explique le sondeur.
Depuis le mariage pour tous, la parentalité plus acceptée
Pour François Kraus, les évolutions législatives comme la loi sur le mariage pour tous (votée en 2013) et la plus grande représentation des familles homoparentales dans les médias ont contribué à légitimer ces familles.
Quelque 72% des Français estiment que du moment qu'il reçoit amour et attention de la part de ses parents, un enfant peut se développer aussi bien avec des parents homosexuels qu'avec des parents hétérosexuels». Un pourcentage en hausse de 16 points par rapport à 2005.
Marche des LGBT à St Denis[pic 1]
Depuis le mariage pour tous, la parentalité plus acceptée
Pour François Kraus, les évolutions législatives comme la loi sur le mariage pour tous (votée en 2013) et la plus grande représentation des familles homoparentales dans les médias ont contribué à légitimer ces familles.
Quelque 72% des Français estiment que du moment qu'il reçoit amour et attention de la part de ses parents, un enfant peut se développer aussi bien avec des parents homosexuels qu'avec des parents hétérosexuels». Un pourcentage en hausse de 16 points par rapport à 2005.
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