Synthèse LGBT

Aujourd’hui, l’être humain nait au monde avec un genre définit par l’homme lui-même, soit être un homme ou une femme. Parfois, il se peut nous venions au monde avec ces deux sexes. Dans la société d’aujourd’hui, la « normalité » est qu’un homme doit aimer les femmes et inversement, mais heureusement le monde commence à voir un nouveau regard sur cette tendance inversée, que cela soit sur le côté physique ou psychique.

Tout d’abord, il y a le constat physique et psychologique. Comme inscrit dans le corpus de document, quand un être humain vient au monde il est directement placé dans la catégorie homme ou femme. Cependant, il arrive des dysfonctionnement naturel comme un nouveau-né possédant les deux attributs sexuels. À la naissance un choix est demandé aux parents pour « effacer » ce trait de caractère physique par les docteurs. Étant donné que le choix n’est pas fait par la personne concernée, des milliers de personnes se retrouvent aujourd’hui avec un sexe qu’ils ne désiraient pas, ces personnes-là doivent subir une opération qui consiste à les stériliser s’il veulent appartenir au genre inverse. Il n’y a pas encore de « catégorie » 3ème genre dans la société française. C’est pour cela que ce sujet est source de conflit dans certains débat politique, comme l’affaire de « l’ambiguïté sexuelle » du tribunal de Tours.

De plus, il est dit dans le corpus de documents que si une femme possédant une « ambiguïté sexuelle », ce qui veut dire qu’elle garde son appareil reproductif féminin mais quelle subit un traitement hormonal pour devenir un homme. Alors cet homme qui était de base une femme sera capable de créer la vie, cela s’est passé avec Thomas Beatie. Un homme américain et transsexuel qui est maintenant papa de quatre enfants. Un transsexuel n’est pas un intersexuel, la différence est que le transsexuel est une personne née dans un corps qui ne lui convient pas (exemple : mental d’homme dans un corps de femme), un intersexuel est une personne qui nait avec les deux sexes et on lui en attribue un seul sans son consentement.

Même si aujourd’hui le regard de la société sur les personnes LGBTQ+ est devenue plus concilient, il existe encore des résistances qui persistent. Personne ne devrait avoir à se justifier sur ses préférences sexuelles, sur le choix de son sexe, la manière dont il perçoit son corps ou autre… La frontière entre les sexes est moins épaisse qu’il n’y parait selon Catherine Vidal, elle le démontre selon une étude sur le monde animal (exemple : les escargots possèdent les deux sexes et vivent ainsi).

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