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L'avortement en FRANCE

Étude de cas : L'avortement en FRANCE. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  5 Janvier 2019  •  Étude de cas  •  779 Mots (4 Pages)  •  596 Vues

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L’avortement est une interruption prématurée et volontaire de la grossesse.

Insérer tableau du nombre d’avortement en france : Si on appliquait à l’ensemble de la classe le ratio d’IVG pour 100 naissances en 2000, environ 4 d’entre vous ne serait pas ce monde

l’avortement en plusieurs dates :

En 1920 l’Assemblée Nationale vote une loi interdisant l’avortement et la contraception, qui ne cessera d’être renforcée par la suite.

En 1942, en temps de guerre, l’avortement devient un crime contre la sûreté de l’État et est passible de la peine de mort. Pour l’exemple, une avorteuse, Marie-Louise Giraud, est condamnée à mort dans la foulée et guillotinée le 30 juillet 1943.

En 196è la loi Neuwirth autorise la fabrication et l’importation de contraceptifs

En 1972, a lieu le procès de Bobigny, durant lequel Gisèle Halimi défend une jeune fille, Marie-Claire, accusée d’avortement clandestin. Celle-ci, alors âgée de 16 ans, s’était faite avorter à la suite d’un viol. Pour la première fois, une femme, pourtant reconnue coupable d’avortement, n’est pas condamnée.

En novembre 1974 le débat sur l’avortement est ouvert à l’Assemblée nationale. Avec comme ministre de la santé Simone veil

Le 17 janvier 1974, la loi qui dépénalise l'avortement est adoptée en France. Elle est aussi appelée "loi Vieil" en référence à la ministre de la Santé de l’époque. La loi autorise l’IVG dans un délai de 10 semaines,.

Nous pouvons nous demander quel est le point de vue de la religion face à l’avortement ? et si ce point de vue évolue avec la société ?

Les trois questions les plus récurantes lorsque on interroge une pensée contre l’avortement sont les suivantes : En cas de viol, l’église impose t’elle de garder l’enfant ? Pourquoi donner la vie à un enfant handicapé, sachant qu’il va souffrir.  ?

Dans la religion chrétienne l’avortement est comparé a un meurtre. l’embryon considéré comme un être humain, doit jouir de la meme dignité que l’homme : cette dignité commence par le droit à la vie. L’avortement est considéré comme un meurtre. La victime étant plus faible que le meurtrier, l’embryon est plus vulnerable que l’homme, cela rend l’homme encore plus coupable. L’Eglise est toujours pour la vie, selon elle on ne peut pas empêcher de vivre un enfant.

En ce qui concerne les grosses issues de viols, l’Eglise admet que la souffrance de la mère est atroce cependant elle ne peut être soulager par le meurtre d’un innocent. Selon l’Eglise, l’enfant n’a pas demander de venir, on ne peut pas s’en débarrasser parce qu’il dérange. la religion chrétienne admet le fait qu’un avortement est une souffrance pour la mère et qu’elle ne peut pas être additionnée aux souffrances du au viol. L’Eglise propose donc que l’enfant soit adopté.

Mère Térésa devant le Sénat Américain : "Quand l’enfant devient l’ennemi no 1, alors tout homme est susceptible d’être mon ennemi à abattre. Que tous ceux qui ne peuvent garder leur enfant me le confient »

Avant les délai légal d’avortement

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