Contrôle techniques de l’information et de la communication professionnelle
Dissertation : Contrôle techniques de l’information et de la communication professionnelle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sherlyn2001 • 24 Mai 2018 • Dissertation • 1 210 Mots (5 Pages) • 742 Vues
Contrôle techniques de l’information et de la communication professionnelle
correcteur : chareyron
note : 12,5/20 Q1 : 6/8 Q2 : 5,5/9 Forme :1/3
observations : vous avez su repérer les idées de l'auteur et valoriser les éléments attendus pour expliquer les différents modèles de communication. Il convient cependant de mieux prendre le temps de formuler vos réponses avec vos propres mots et de les développer pour valoriser votre compréhension de ce module.J'ai annoté votre travail, pour que vous puissiez également préciser certains points, vous pourrez le faire en lien avec les éléments de corrigé. Bonne continuation
1.[a] L’auteur met ici en évidence différents freins à une bonne communication.
• Dans bon nombre de communications, celle-ci ne se fait que dans un sens. Que ce soit le mode de communication (communication de masse, communication politique…) ou la place d’un interlocuteur par rapport à l’autre (un maître par rapport à son élève, un supérieur hiérarchique et son collaborateur…), l’échange ne se fait parfois que dans un sens : une des personnes émet et l’autre ne fait que recevoir. Difficile dans ces contextes de parler de véritable communication, l’auteur fait référence à différents auteurs qui distinguent alors « informer » et « communiquer ».
• Les enjeux implicites, ceux qui ne sont pas dits, mais qui interfèrent dans la capacité à bien communiquer. L’auteur évoquent les enjeux liés à l’identité de chacun, les enjeux territoriaux, les enjeux relationnels et d’influence.
• La qualité du message est ensuite mise en cause, cela s’explique en particulier par les différents sens que peut prendre un mot. On ne peut pas être certain que le récepteur donnera la même signification à certains mots, le message peut alors devenir ambigu.
• Le récepteur n’est pas passif, il exercera sur un temps de communication son propre filtre et n’entendra pas tout ce qui est dit.
• La forme du message participe aussi à la réception de celui-ci, que ce soit à l’oral (le vocabulaire employé, l’intonation…) ou à l’écrit (lisibilité du document, qualité de l’écriture…) ; cela renforce, ou au contraire discrédite, le propos.
2.[b] Pour bien communiquer , il faut un émetteur et un récepteur mais il faut aussi que l'information circule dans les deux sens , il y a une attitude à avoir pour favoriser une communication efficace dont certains éléments sont essentiels : tel que l'empathie et l'écoute active , l'affirmation de soi et la capacité de donner et de recevoir du feed-back. Le contexte dans lequel se fait une communication est tout aussi important que la communication elle-même , voila pourquoi il est primordial de choisir un lieu conscient de l'influence potentielle de certains éléments sur la communication. La façon la plus efficace de transmettre un message est de savoir ce que l'on veut qu'il ait comme fonction , une fois qu'on connaît la fonction du message ont a le pouvoir de contrôler et de modeler pour atteindre son but.[c]
3.[d] Une des solutions à une bonne communication est de maîtriser quelques règles de l'expression écrite ou orale c qui produira un message clair (ex : maîtriser le ton de la voix , le silence , les gestes , vocabulaire , avoir recours à des images concrets et une formule clés). Il faut également s’adapte à la bonne compréhension du récepteur tout en ajustant son discours à ses capacités et ses disponibilités.
En outre il existe des techniques destinées à améliorer la communication interpersonnelle ou en groupe : technique de l'entretien , conduite de réunion , techniques de communication interpersonnelles ( programmation neurolinguistique , analyse transactionnelle , technique d'expression écrite , orale...)
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