Syndicats communistes
Cours : Syndicats communistes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar abbigael1 • 7 Janvier 2013 • Cours • 793 Mots (4 Pages) • 948 Vues
Les communistes, dans une parodie des vœux présidentiels, épluchent les promesses de campagne du candidat Hollande. Le document se termine par cette remarque : «1500 emplois détruits chaque jour, ça nous fait pas rire. A toutes et à tous, une bonne année de luttes.»Les plans sociaux à répétition, que François Hollande disait vouloir éviter, sont l'occasion de rire. (Image)
Lien : Recapitulatif
http://www.lefigaro.fr/social/2012/12/27/09010-20121227DIMFIG00233-psa-florange-les-plans-sociaux-qui-ont-secoue-2012.php
Petroplus :
- Premier gros dossier de l'année, celui de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne en Seine-Maritime. L'histoire commence fin 2011 avec la faillite de la maison mère suisse et le dépôt de bilan de toutes ses filiales en Europe. Rapidement, l'intersyndicale se tourne vers les candidats à l'élection présidentielle qui défilent les uns après les autres sur le site, sans succès. Aujourd'hui, les 470 salariés qui continuent de travailler attendent toujours un repreneur.
http://www.challenges.fr/economie/20121227.CHA4671/arcelormittal-psa-doux-ces-plans-sociaux-qui-ont-marque-2012.html
- La lutte des salariés de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime) pour sauver leur entreprise constitue le conflit social le plus long jamais enregistré dans l'industrie du pétrole en France. L'histoire commence fin 2011 avec la faillite de la maison mère suisse et le dépôt de bilan de toutes ses filiales en Europe.
L'intersyndicale CGT-CFDT-CFE/CGC porte aussitôt le dossier au plus haut niveau: les candidats à l'élection présidentielle se succèdent sur le site. Les syndicats inspirent même de nouvelles dispositions législatives au Parlement et démarchent des repreneurs potentiels.
Un an plus tard, la raffinerie qui emploie 470 salariés a cessé de fonctionner et attend la venue d'un industriel prêt à investir. La date ultime de dépôt des offres a été fixée au 5 février par le tribunal de commerce.
Air France :
- En juin dernier, la compagnie aérienne lance un plan de restructuration en espérant réduire ses coûts de 2 milliards d'euros d'ici 2015. Pour y parvenir, elle souhaite supprimer 10% de ses effectifs d'ici fin 2013, soit 5122 emplois. Air France engage également un processus de remise à plat de ses conventions collectives. La direction promet en cas d'accord avec les syndicats «d’exclure le recours à des départs contraints» d'ici à fin 2013. Les personnels au sol et les pilotes ont validé ce plan. Hôtesses et stewards ne l'ont pas encore fait.
http://www.challenges.fr/economie/20121227.CHA4671/arcelormittal-psa-doux-ces-plans-sociaux-qui-ont-marque-2012.html
La compagnie aérienne lance en janvier 2012 une restructuration draconienne.
Pour réduire ses coûts de 2 milliards d'euros d'ici à 2015, Air France décide de réduire ses effectifs de près de 10% avant fin 2013, soit 5.122 postes, et remet en cause des accords collectifs sur les rémunérations et l'organisation du travail.
"Pas de licenciements secs", mais des départs
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