L'Innovation Social est la panacée contre le Covid

Face à la crise affligeante et dévastatrice qu’est la pandémie de covid-19, l’humanité s’est retrouvée dans une situation désastreuse, aussi bien sur le plan sanitaire que social. Les communautés marginalisé et défavorisé ont reçu le plus les contrecoups de ce virus et voilà que les inégalités sociales, déjà pénible de base, se creusent de plus en plus profondément.
        Cela étant dit, comme le proclame fièrement le scientifique Kurare « C’est quand on est dos au mûr que l’homme sort sa carte maitresse », et cette carte imparable chamboulant tout et apportant de l’espoir n’est autre que l’innovation social, idéologie et concept pertinent ayant apporté bon nombre de réponses des plus efficace aux problèmes que l’Etat n’a lui-même pas répondu.

Nous ne pouvons nier, étant des hommes réfléchis et doué d’intelligence, que les mesures entreprises par les mouvements sociaux ainsi que nos efforts conjugués réduisent cette crise sanitaire. « La COVID-19 est l’un des plus graves problèmes de santé en une génération, mais aussi une occasion de faire progresser l’innovation, l’ingéniosité et l’esprit d’entreprise dans le domaine des technologies sanitaires d’importance vitale », a déclaré Dr Matshidiso Moeti. Ainsi que le Canada qui souligne sa capacité au secteur social de répondre aux besoins des personnes les plus vulnérables. C’est dans ces moments de difficulté, que nous apprenons et octroyons des mesures pour contrecarrer cette abomination pandémique.

C’est dans cet ordre, que moi, mes coéquipiers allons démontrer jusqu’à ce que fatigue s’en suive que l’innovation est la panacée face à la crise sanitaire de Covid-19.

Partie 1:          

        Pour être clair et concis, sans vous apporter de dissonance cognitive, parlons de ces  organisations créées dans l’optique de soutenir la population en ce temps de crise sanitaire. Parlons spécifiquement des domaines d’intervention. Parlons de la surveillance, de la recherche des contacts, de la participation communautaire, des traitement, les systèmes de laboratoire et la lutte anti-infectieuse. Afin d’illustrer ces catégories, on cite parmi les innovations fondées sur les TIC, les outils d’autodiagnostic en Angola, l’application tousAntiCovid développée en France, qui permet d’avertir si vous avez été soit infecté soit cas-contact ou encore les outils mobiles d’information sanitaire au Nigéria.
Rejoignons donc la citation de Dr Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique. « C’est formidable de voir le dynamisme dont la jeunesse du continent fait preuve dans la lutte contre la COVID-19. Des outils automatiques de lavage des mains fonctionnant à l’énergie solaire, des applications mobiles qui s’appuient sur la connectivité de l’Afrique en pleine expansion. Il s’agit là d’innovations locales adaptées de façon spécifique au contexte africain. »
         
        Vous, contradicteurs qui ne faites que critiquez en niant que c’est un remède curatif, j’ai beau preter mon oreille afin d’écouter ce que vous dites, mais le précieux temps que nous passons ici, nous aurions pu développer des moyens technologique pour freiner cette crise.

        
Partie 2 :

        Comme le disait si bien le Dr. Moeti  « La pandémie a insufflé une nouvelle dynamique à la nécessité d’investir dans l’innovation et de mettre en place des politiques et des cadres adéquats pour libérer le génie africain dans le monde ». Cette assertion nous dérive donc à l’expression ‘la meilleure défense c’est l’attaque’, alors attaquons avec l’innovation sociale pour éviter cette épée de Damoclès.

 Le Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique a créé une base de données intégrée des innovations afin de partager les connaissances, les idées et les réussites. Il a aussi institué un pool d’accès aux technologies pour le partage de la propriété intellectuelle et des données. Le tout premier Challenge de l’OMS pour l’innovation en Afrique, qui visait à répondre à certains des besoins sanitaires les plus urgents des populations les plus vulnérables dans le monde, a enregistré en tout 2400 propositions d’innovation, y compris des innovations issues de 44 pays africains.

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