Les Lumières

Les lumières :

Cet exposé va porter sur les lumières (et plus particulièrement sur leur façon de penser). Le siècle des lumières est un mouvement philosophique, culturel et scientifique d’intellectuels au XVIII siècle. Les personnes y participant sont donc caractérisé de lumière mais non pas par comparaison à la lumière divine, plutôt grâce à la lumière émise par les connaissances.

I/ L’esprit des lumières

1. La croyance dans le progrès

Ils sont pour un monde de progrès, d’innovation, ils soutiennent que l’éducation des hommes pouvait améliorer la nature humaine. Le but de ces lumières est de faire progresser les connaissances en encourageant la science et l’échange intellectuel, en s’opposant à la superstition, l’intolérance et les abus de l’Église (ce n’est pas qu’ils ne croient pas à un dieu mais ils rejettent la théologie chrétienne) et de l’État. On peut citer quelque une des découvertes de ce siècle comme le microscope, la lunette astronomique, l’anatomie, la machine à vapeur…

2. Leurs valeurs

La plus importante des hypothèses et espérances communes aux lumières de cette époque fut la foi inébranlable dans le pouvoir de la raison humaine. En effet l’usage judicieux de cette raison a permis à Newton la découverte de la gravitation universelle. Et grâce à cette impression il y a eu un progrès perpétuel dans le domaine de la connaissance, des réalisations techniques et des valeurs morales. Les lumières défendaient également la liberté, la tolérance, et l’égalité. D’ailleurs suite à la révolution Française qui a longtemps été vue comme l’achèvement du siècle des lumières est sorti déclaration des droits de l’homme et du citoyen.

3. L’émergence d’une pensé politique forte

Les philosophes critiquent les abus de pouvoir, c'est pourquoi ils veulent la séparation des pouvoir: Montesquieu, écrit dans « De l'esprit des lois », en 1748, qu'il est utile de séparer les 3 pouvoirs, donc qu'ils ne soient pas concentrés dans les mains d'une seule personne, afin d'éviter toute tyrannie. Ils sont pour le rejet de la monarchie de droit divin mais ils restent généralement favorables à un régime monarchique. Mais ils ne sont pas pour une démocratie, sauf dans le cas de Rousseau.

4. Salon de discussion

Le phénomène des salons commence à la fin du XVII siècle. Un salon de discussion est un lieu (café, salon de personne riche,…) où les philosophe et autre intellectuel se rassemblaient pour débattre, échanger des idées… Les salons étaient souvent "tenus" par des femmes lettrées, ayant des connaissances scientifiques, géographiques,… et le plus souvent situé à Paris.

II/ Les lumières dans les écrits

1. L’encyclopédie

Les philosophes ne se contentent pas d’écrire. Ils se mettent aussi personnellement en cause, au risque d’être arrêtés et emprisonnés. Diderot consacre plus de vingt ans de sa vie à la publication de l’Encyclopédie, énorme dictionnaire de 28 volumes de texte et de 11 volumes

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