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Synthèse de documents - Le développement durable

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Par   •  14 Septembre 2019  •  Fiche  •  1 359 Mots (6 Pages)  •  760 Vues

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Synthèse de document

Le développement durable

Depuis le début du 19ème siècle avec la révolution industrielle, les sociétés ne cessent d’évoluer. Mais plus particulièrement depuis les années 1990, les grandes villes innovent et tentent d’être de plus en plus imaginative au point d’en faire des villes futuristes. C’est d’ailleurs à la même époque que l’on commence à s’interroger sur les  notions de développement durable et environnement. Le développement durable consiste à se développer et de répondre aux besoins actuels sans nuire aux générations futures d’en faire de même. Le corpus est composé de quatre documents tirés d’une revue de presse qui présente les possibilités d’évolution technologique, technique et environnementale des sociétés les années. Le thème mêle l’environnement et le rêve. Quels impacts aura cette modification architecturale et technologique sur les individus et l’environnement ?

Pour y répondre, nous allons voir dans un premier temps, les impacts de ces évolutions sur l’écologique en insistant sur l’optimisation de l’espace d’utilisation d’énergie ainsi que l’utilisation des transports. Puis nous verrons dans un deuxième temps l’impact sur le domaine social en insistant avant tout sur une hausse des qualités de vie. Enfin, dans un dernier temps, nous verrons que l’évolution futuriste de nos sociétés comporte également des freins.

        L’écologie est un facteur qui devient de plus en plus important dans nos sociétés. Beaucoup de normes et de règles furent instaurées depuis peu afin de préserver la planète et d’éviter des catastrophe naturelle. Dans ce corpus, l’écologie est mentionnée dans chacun des textes, ce qui montre son importance au sein des sociétés qui envisagent leur avenir. On peut notamment voir que ce qui leur préoccupent le plus est l’optimisation des espaces de vie et d’agriculture. Dans ces textes, nos espaces de vie vont considérablement changer. On peut notamment le voir dans le document « Les projets les plus fous » écrit par Jean Luc Barberi et Laurent Martinet écrit en août 2018, et qui présente les projets comme Songdo en Corée du Sud (ville hyper intelligente), Paris en 2050 (mégalopole écolo), aux Pays-Bas avec une mégalopole flottante, Neom en Arabie Saoudite, Au Mexique avec un immeuble sous le sol ou encore des américains libéraux qui souhaitent se développer en haute mer et dans le document « A la découverte des villes futures » écrit en août 2018 par Béatrice Mathieu où l’on peut apercevoir sur la page de couverture des villes qui s’agrandissent avec des bâtiments toujours plus haut. On voit donc dans ces deux document que les sociétés vont dans l’un créer une nouvelle ville au Sud de Pékin en Chine qui à elle seule ferra 20 fois la taille de Paris, et dans l’autre que les nouveaux espaces se trouvent dans les sous-sols comme au Mexique ou une espèce d’arbre des mers flottant qui prend peu de place au sol. C’est deux solutions se distinguent de par leur imagination : Béatrice Mathieu explique que Xiongan ne sera que une ville gigantesque, alors que les 2 projets dans l’écrit des deux écrivains sont plutôt utopique, inconcevable encore aujourd’hui.

Outre le fait que ces projets permettraient de résoudre des problèmes important lié à la forte augmentation démographique et la forte urbanisation, elles ne sont pas entièrement en cohérence avec les enjeux écologique : Xiongan devrait être construit sur des terres agricoles aux sud de Pékin, et les projets des Pays-Bas et du Mexique pourraient avoir un impact sur la terre et la mer et par exemple être lié à des perturbations tectoniques.  

Pour protéger l’environnement, il est également important de se développer tout en protégeant la planète des émissions de gaz à effets de serre. C’est pourquoi, comme le montre le document « La cité de demain sera autosuffisante » de Jean-Luc Barberi, les villes souhaitent instaurés des terrasses végétalisées, qui absorbera chaque année 135 Tonnes de carbone. Le but étant également de ne plus consommer d’énergies fossiles, ces immeubles délivreront également plus d’énergie qu’ils n’en n’ont besoin. Dans « les projets les plus fous » Paris 2050 est imaginé avec des panneaux solaires sur tous les toits. Il y aura également moins de pollution due aux véhicule puisque les routes seront mieux aménagées et donc il y aura moins d’embouteillage, principale source de pollution d’après « la cité de demain sera autosuffisante ». Tous ces moyens devraient permettre de ramener la nature en ville et donc d’augmenter les conditions de vie.

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