La DMLA soit la dégénérescence maculaire
Analyse sectorielle : La DMLA soit la dégénérescence maculaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar piliesky • 25 Janvier 2015 • Analyse sectorielle • 573 Mots (3 Pages) • 786 Vues
La DMLA soit la dégénérescence maculaire liée à l’âge est une maladie dégénérative de la rétine d’évolution chronique qui débute après l’âge de 50 ans. Elle provoque donc un champ de vision limité en noir et blanc ainsi que d’autres symptômes. Pour soigner cela, nous devons développer les implants rétiniens afin d’aider les personnes atteintes à retrouver une vision même si elle n’est que partielle comme l’ARGUS II.
La DMLA est donc une maladie chronique et évolutive liée à un vieillissement trop rapide de la zone centrale de la rétine, appelée macula, qui assure la vision centrale et c’est sur elle que se forme l’image que nous regardons et qui est très utile pour la lecture. D’après dmlainfo.fr, elle transmet 90% de l’information visuelle traitée par le cerveau. Elle entraîne donc une perte progressive de la vision centrale, tout en laissant intacte la vision latérale. Elle touche essentiellement les cônes ce qui explique la perte de vision centrale et la baisse d’acuité. D’après le document 1 de l’évaluation des sciences, on distingue différents symptômes pour la DMLA comme d’abord, la baisse de l’acuité visuelle, puis une vision déformée ou encore l’apparition d’une tâche centrale, c’est par conséquent une maladie très handicapante. Les formes les plus sévères avec une baisse visuelle grave concernent environ 200 000 patients. Comme il y a un vieillissement de la population, ces chiffres devraient doubler d’ici 2020 et c’est donc une cause sévère de la vision.
La DMLA étant une maladie handicapante et touchant énormément de personnes, il faudrait trouver une solution pour aider un maximum de patient, à savoir les implants rétiniens. De plus, Les implants rétiniens ont prouvé leur efficacité, à savoir, d’après le document 3 de l’évaluation des sciences, les premiers implants remplace une partie de la rétine endommagée, la vision étant en noir et blanc, restant par conséquent limité mais réelle même si l’acuité est toujours réduite. Les implants actuels peuvent constituer une solution très partielle pour les personnes atteintes. D’après le document 4 de l’évaluation et mes notes sur le compte-rendu précédemment, plusieurs prototypes sont en cours qui vont améliorer l’acuité visuelle à l’aide d’électrodes. Effectivement, dans un premier temps, le patient pourra se déplacer seul ou encore reconnaître des objets. Dans le deuxième temps, le malade pourra lire, reconnaître les visages et les émotions, ce qui facilite grandement la vie sociale. Cependant, même si les implants rétiniens sont très importants et pourraient alors rendre une vue partielle aux 200 000 patients et plus d’ici 2020, leur développement est limité. En effet, le coût des prototypes est très élevé, peu de chirurgiens peuvent pratiquer ce genre d’intervention avec l’exemple de l’Argus II. D’après has-sante.fr, l’Argus II est ainsi un système de prothèse rétinienne, équipé d’une caméra miniature, d’une antenne externe, d’un circuit électronique et d’un câble qui confirme donc l’important coût demandé soit, d’après le document 4 de l’évaluation, 73 000 euros. De plus, une recherche importante est nécessaire et ce n’est pas à la portée de tous les pays.
Pour conclure, la dégénérescence maculaire liée à l’âge est une maladie
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