Violences Urbaines
Mémoires Gratuits : Violences Urbaines. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 15 Mai 2013 • 619 Mots (3 Pages) • 1 060 Vues
LES VIOLENCES URBAINES
Force est de constater que les violences notamment urbaines sont présentes dans nos sociétés.
Nous allons les décrire historiquement, les détailler dans notre société et enfin voir comment les institutions réagissent face à cet état de fait.
I : HISTOIRES
Le problème de la violence est difficile à cerner car elle a toujours existé mais a toujours variée selon les époques et les cultures.
En ce qui concerne les violences urbaines proprement dites, nous pouvons citer celles qui ont eu lieu aux Etats-Unis :
Chicago (1919), Harlem (1935), à Los Angeles(1992).
En France la première date de 1981 aux Minguettes, à Vaux-en-Velin en 1990, Sartrouville et Mantes-la Jolie en 1991, Toulouse le Mirail et Mantauban en 1999 et ainsi de suite jusqu’à l’embrasement des banlieues en 2005.
Et quand la violence urbaine est très circonscrite, elle passe presque inaperçue Marseille, Mantes-la Jolie, ou encore le Tremblay en France (rebaptisée il y a peu, le nom de cette commune était Tremblay-les-Gonnesses….), les manifestations dans la capitale, les rassemblement lors de match de foot.
Tout cela alors que dans les sociétés occidentales la violence a été évacuée selon un processus long et net qui est communément appelé la civilisation. Dans l’évolution de la société, la violence privée a été prise en charge par l’Etat. L’homme ne peut plus se venger.
La violence privée a fait une résurgence dans l’espace public.
Elle peut s’expliquer comme une « réaction à une situation de frustration en raison du décalage entre une aspiration élevée et la possibilité d’une réalisation médiocre ».’ (Ted Gurr).
Aussi nommée LA FRACTURE SOCIALE.
Elle va du plus simple vandalisme à l’émeute, pas encore la guérilla urbaine.
II : CONSTAT ou ETAT DES LIEUX
La violence est décrite comme gratuite, sans revendication. Elle prend pour cible les institutions. C’est une réaction des jeunes face à l’exclusion.
L’espace publique doit être à tous. La civilité implique une neutralité. Il ne faut pas imposer à autrui sa spécificité.
Elles remettent en cause le fonctionnement de la vie collective basée sur le respect mutuel, la communication, et l’échange.
La violence inquiète.
Les pouvoirs publics se sont efforcés de mettre en place des moyens en personnel et matériel pour « recréer » l’espace public. Lutter contre les incivilités. Ce sont les professions de l’hospitalité et la
Création de nouveaux métiers qui tente de retisser du lien social.
Afin de casser cette spirale, cette culture de rue.
Ce qui est valorisé dans cette violence c’est sa manière de dominer sa peur et de se construire une
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