Marché japonais
Analyse sectorielle : Marché japonais. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ilo21346 • 7 Janvier 2021 • Analyse sectorielle • 567 Mots (3 Pages) • 362 Vues
Cge : exercices argumentation
- Exercice 1 :
Thèse A va avec le paragraphe D
Thèse B va avec le paragraphe B
Thèse C va avec le paragraphe A
Thèse D va avec le paragraphe C
- Exercice 2 :
- « on ne peut que regretter que la ‘’vieille Europe’’ »
« ait trop tendance à se réfugier derrière un principe de précaution stérilisant »
« triste réflexe »
On peut donc comprendre que sa thèse est une critique du système « protecteur » actuel et de toutes les nouvelles réglementations sur les produits divers et variés, empêchant ainsi les industries de se développer en innovant et qui devront « prouver à l’avenir le caractère inoffensif de leurs produits »
- Il justifie sa thèse en démontrant que, plus tard, cela engendrera une perte de « 360 000 emplois » soit en conséquent les entreprises ne pouvant plus se développer à cause des réglementations qui deviennent de plus en plus coûteuses pour celles-ci, devront fermer le rideau et licencier.
Il prend également exemple sur la « vieille Europe » et « sur les progrès et les découvertes majeures » que celle-ci a pu permettre en prenant appui sur la période des années 1800 lors de la révolution industrielle. Ainsi, l’auteur s’appuie sur des références historiques pour justifier ces arguments, regrettant l’ancienne époque là où les réglementations et les principes de précaution ne stérilisés pas les innovations et le développement des entreprises. Une certaine mélancolie se traduit par ces deux termes « triste réflexe », comme si l’auteur se remémorait les années passées, et leurs avantages.
- Exercice 3 :
- « Les jeunes sont dépolitisés », une simple phrase qui veut bien dire des choses.
Les jeunes ne sont donc pas capables de comprendre la politique ? D’intervenir dans cette sphère complexe ? Bien au contraire. Au jour d’aujourd’hui, très peu de partis politiques représentent la jeunesse, ce qui frustrent ces adolescents en quête d’évolution, de changement. La France, comme de nombreux pays dans le monde, connaît un fort recul de la participation électorale chez les 18-25 ans, cela ne veut pas dire pour autant qu’ils se désintéressent de la politique. Se sentant ainsi peu concernés par les syndicats, les partis politiques ect… ces jeunes en question sont tout de même prêts à se mobiliser dans des mouvements collectifs pour défendre leurs intérêts ou des valeurs qu’ils estiment menacées. Plus d’un adolescent sur 3 estime que la solidarité, l’entraide et le partage sont des valeurs importantes. Alors oui, les jeunes sont certes moins présents que dans les années 2000 pour voter, mais pour autant ils cherchent des actions concrètes, du changement et du mouvement.
La politique est en effet un milieu complexe, semé d’embûches, et un terrain où tout le monde ne se sent pas apte d’y mettre les pieds. La plupart des jeunes estiment que les candidats élus ne tiennent pas leurs promesses, qu’ils ne respectent pas leurs engagements, alors pourquoi iraient-ils voter pour des politiciens incapables de tenir leurs promesses jusqu’au bout ? Le désintérêt ne vient pas uniquement des jeunes, les jeunes ne sont pas dépolitisés, les jeunes demandent juste à qu’on s’intéresse aussi à ceux qu’eux désirent et veulent. Les jeunes veulent des partis politiques les concernant, poussant ainsi à aller voter. Les jeunes sont prêts à être la source du changement, seulement si on leur donne les moyens de l’être.
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