Intelligence Humaine en Progrès

1. Les origines du texte.

Ce document, intitulé « L’intelligence humaine en progrès », es une version courte, c’est à dire abrégé, de « L’« effet Flynn » et ses paradoxes » de L’Année Psychologique, vol CXII, n°3, publié en septembre 2012, et écrit respectivement par Serge Larivée, Carole et Pierre Audy. Or, cet extrait ne compose que les écrits du professeur et chercheur au Département de Psychopédagogie et d’andragogie à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal : Serge Lavarivée et ceux de la professeure à la Faculté d’éducation à l’Université d’Ottawa. Cette version des deux professeurs Canadiens parut dans le magazine français mensuel « Sciences Humaines », n°241, en Octobre 2012, donc il reste encore un texte d’actualité sur l’intelligence humaine et son évolution à travers le temps, avec une approche scientifique, dans des différentes cultures.

2. Le thème principal, les thèmes secondaires et le cheminement argumentatif.

Dans cet article, le thème fondateur revient au sujet de l’évolution du quotient intellectuel à travers les années. En effet, ayant comme base les découvertes du chercheur James R.Flynn, la question repose sur s’il y a un progrès ou bien simplement une variation. En outre, le texte propose des thèmes secondaires sous la forme d’hypothèses, comme par exemple si cette évolution est l’effet d’un environnement qui ne cesse de changer, soit du phénotype qui se développe ou bien d’une mixité entre ces deux facteurs. Grâce à cela, le cheminement argumentatif suit ces hypothèses et permet de les répondre au fur et à mesure, et à la fin, arriver à voir les limites de ce mal nommé « progrès ».

3. Les mots clefs.

Evolution, Quotient Intellectuel, Habilités Visuospatiales, Phénomène d’épigenèse.

4. La synthèse du document.

Avec l’ « Effet Flynn » nous pouvons constater une augmentation du QI entre 1932 et 1978. Cela pourrait être expliqué par les différentes transformations que la société à subit durant cette époque, comme l’amélioration des conditions de vie avec le développement des nouvelles sciences comme la médecine et industrialisation, la mondialisation et l’urbanisation. Conséquemment, une importante immigration eu lieu, et ainsi le système scolaire s’améliorât avec la mise en commun des différentes sciences, découvertes, travaux, hypothèses et stratégies. Cependant, à cette époque se développèrent aussi les technologies, dites visuelles, comme les ordinateurs, la télé, etc. Avec cela, l’environnement change lui aussi, et donc laisse la place pour que nous habilités visuospatiales se développent. C’est cela que constate James R.Flynn ; que le « progrès », voir les gains les plus importants du QI se font sur les compétences visuospatiales ou de logique. Ceci dit, une des hypothèses était celle du facteur génétique, qui serait le responsable des augmentations dans le QI. Cependant, il accompagne le développement environnemental, i.e, ces changements. Autrement dit, nos gènes se développent selon notre environnement, et l’individu cherche et forme cet environnement pour se développer. Nous parlerons alors du phénomène d’épigenèse.

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