UE 1.1 psychologie, sociologie, anthropologie

UE 1.1 psychologie, sociologie, anthropologie

L'histoire de la psycho : viens du grec psyché qui signifie âme ou esprit. Gallien cherchait a soigner les maladies de l’âme, dès l'antiquité on pratiquait des cures d’âme. Dès l'antiquité, se profile déjà le souci scientifique et cognitif de comprendre l’articulation entre le corps et le cerveau. Gallien créa un classement des maladies mentales. La Phrénitis qui est une folie aigu, la Manie qui est une infection chronique, la Mélancolie, l’épilepsie, l’hystérie. Gallien distingue 4 tempéraments, chaque maladies est du à un déséquilibre. Il existe le tempérament sanguin, le tempérament colérique, le tempérament mélancolique et le tempérament flegmatique. A partir de la renaissance, Montaigne, opposera a cette psychologie à une psychologie de la sagesse. Réforme religieuse, réforme politique (retour vers soi et nn vers dieu ou le roi).

Qu'est-ce que la clinique : viens du grec clinikè qui veut dire au chevet du malade. Signifie laisser de coté ses interprétations personnels, ses représentations personnels et ne pas vouloir comprendre trop vite ni chercher a faire un diagnostic trop vite. Ça nécessite aux soignants de ne pas associé aux patients leur pathologie mais leur façon d’être.

Qu'est-ce que la psychologie : C'est Christian Wolff qui introduit le terme de psychologie dans la littérature. Le terme de psychologie clinique est introduit par Witmer. En France, Pierre Janet reprend le terme de psychologie clinique, il reçoit les patients mais il exclu l’inconscient de sa clinique. Freud utilise lui aussi le terme de psychologie clinique, sa méthode ne s'appuie que sur la parole singulière de chaque sujet.

INTRO :

I- La psychologie du développement.

Ariès met en lumière que sous l'ancien régime les enfants allaient travailler plus tôt, qu'on le protège comme un petit animal. On considère a l'époque que les nourrissons sont des petits  animaux voraces et dangereux, en conséquences on les sous-alimentent. La mort d'un enfant est vécu avec fatalité et détachement. Sur 4 enfants qui naissent seulement 2 arrivent à l'age adulte. C'est l'industrialisation et la baisse de mortalité infantile qui vont amener une autre conception de l'enfant et qui va permettre une l'émergence de la psychologie de l'enfant. Il s'agit plutôt d'analyser les caractéristiques psychologiques de l'enfant. Piaget et Wallon délaissent l'idée que l'évolution de l'enfant n'est du qu'à une maturation biologique. Ils mettent en évidence des compétences spécifiques en fonction de l'age. Un stade c'est une période délimité de l'enfant. Avant eux, le dvlp était perçu comme linéaire. Avec piaget et Wallon, il apparaît que le dvlp est lié

II- La psychologie sociale

L'objet de la psychologie sociale est l'étude des interactions entre individu et les groupes auxquels il appartient. Pour Allport, la psychologie sociale consiste a essayer de comprendre comment les comportements des individus sont influencer par la présence imaginaire explicite ou implicite des autres. Pour Baron et Byrne, c'est le domaine scientifique qui étudie la façon par laquelle les sentiments, le comportement, les pensés d'un individu sont influencer ou déterminé.

III- La psychologie cognitive

ce courant est fondé sur la seule étude objective du comportement. Cette psychologie se passe du fait du langage sans en contester l'existence. Watson, pour lui il faut écarter tout recourt explicatif au passé antérieur, au retour à la conscience afin d'étudier scientifiquement le comportement des organismes vivant et leur environnement, pour lui tout comportement est le résultat d'apprentissages. Pavlov, son objet d'étude est le chien. Lorsqu'il met un stimulus devant le chien, le chien salive. Il associe 2 stimuli, le chien salive. Lorsqu'il ne présente plus que le deuxième stimulus, le chien salive. Watson considère que les comportements seraient donnés selon les réflexes. Skinner -> conditionnement opérant ou instrumental. Selon Skinner, l'acquisition d'un comportement dépend de la relation temporel entre ce comportement et un événement du milieu. La fréquence d'émission de la réponse dépendra du caractère motivant ou inversif de l’événement qui est là. 2 types de comportements, le renforcement positif ou la punition. Le béhaviorisme c'est une démarche qui se veut rationnel. Tout ces travaux suivent un paradigme social. Le courant cognitiviste s'intéresse à «la boite noire», la pensé. Il se base sur des choses pas observables.

IV- La psychanalyse

Joseph Breuer et Freud font le constat que la médecine est impuissante à guérir l'hystérie. La psychanalyse est un étude qui a pour but les processus inconscients. Freud a découvert que c'est l'inconscient qui gouverne le fonctionnement de la pensée. Il a débuté en faisant son auto-analyse en écrivant a son confrère Fliess. Freud part de l'hypothèse qui il y a de l'inconscient cad une instance psychique qui fait agir l’être humain tout en échappant a sa volonté. L'homme va devoir accepté l'idée que ses propres volontés lui échappent et que son «moi» n'est pas le maître dans sa maison. Au 19ème siècle apparaît une technique qui recherche biologique et neurologique de maladies mentales. Cependant une maladie persiste, l'hystérie qui touche principalement les femmes qui se manifeste par des crises, la paralysie, etc... Freud vient suivre le cours de Charcot et il constate que sous hypnose ces phénomènes disparaissent et qu'une décharge émotionnel a lieu. A partir de ce moment là, il isole l'impact de la parole comme essentiel a ces guérisons, et fait l'hypothèse de l'existence de processus inconscient à l'origine de cette pathologie étrange. Elle a un impact sur le corps sans apparence somatique. La psychanalyse prend en compte la manière dont le langage et les événements impact le corps. Selon Freud, le symptôme n'est pas a éradiquer mais a déchiffrer. Le déchiffrage ne se fait pas à partir de l'observable mais à partir du discours du sujet. Ainsi un symptôme chez une personne n'a pas la même signification pour une autre personne. Freud, à son retour a Vienne, pratique la cure par la parole. Il s'agit que le patient dit tout ce qu'il lui passe par l'esprit sans contrôler ce qu'il veut dire. Cela permettrait d'accéder a l'inconscient. L'étude de l'énergie psychique à l’œuvre et la dimension topique relative au lieu. Freud pose qu'il existe une énergie constante chez chacun, c'est la libido ou la pulsion. C'est une énergie qui pousse et qui rencontre un ensemble de force et qui dévie sa course et complique son trajet. Freud nous a éclairé sur la manière dont nous pouvons comprendre la fonction de névrose et psychose.

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