L'action de l'école sur les destins individuels

mL’action de l’école sur les destins individuels et sur la société

L’égalité des chances considère que les conditions sociales = injustes puisqu’elles favorisent ceux qui ont un capital de départ + important ( cap éco, culturel… )

Dans ce cadre, les inégalités de résultat sont juste puisqu’elles résultent du mérite de chacun.

L’égalité des conditions, à pour objectif de réduire les inégalités entre les positions sociale, dans ce cadre toute inégalité est considérée comme injuste.

L’égalité des chances est implicitement contenu dans l’égalité des droits c’est à dire que la position sociale ne doit pas dépendre des caractéristiques sociales, économiques, ethnique ou religieuse des générations précédente. Seul le mérite peut entrer en ligne de compte. Cette conception implique donc une lutte active contre toutes les formes de discriminations.

L’égalité des chances dans le système scolaire implique que tous les élèves suivent le même type de scolarité sanctionné par le même diplôme.

Ce principe en vigueur dans le système scolaire a pour objectif de permettre à chaque individus de s’intégrer dans la société en ayant acquis les mêmes compétences culturels qui sont exigés pour définir une place dans la hiérarchie sociale.

Ce principe général n’est pas toujours respecté dans le système français par exemple les écoles privées hors contrat qui ne sont pas soumises aux mêmes règles que l’ensemble des autres établissement scolaire ( on est plus dutout ds l’égalité des chances).

Depuis le 19e siècle, l’école s’est généralisée et s’est imposée comme le vecteur essentiel d’une culture commune.

La première mission de l’école est la transmission des savoirs, elle délivre des diplômes qui valide des compétences qui vont permettre l’insertion de l’individu sur le marché du travail, elle a également d’autres objectifs qui font plutôt référence aux liens sociale. Elle renforce le sentiment d’appartenance à une collectivité nationale, ces principes ont été mit en avant dès le 19e avec les lois de Jules Ferry sur l’instruction publique: école obligatoire, gratuite et laïque.

La généralisation de l’enseignement primaire date du 19e siècle. Mais c’est pendant les années 60 que l’enseignement secondaire devient systématique, c’est à partir de cette période qu’on peut parler de massification de l’enseignement.

Les politiques publiques ont accompagnés et encourager cette pacification, elle comprend 2 volets différents:

- l’augmentation du nombre d’élève dans le système scolaire

- l’allongement de la durée dans la système scolaire

Cette massification a été rendu possible par une politique volontariste de l’état notamment en matière de construction d’infrastructure et de recrutement de personnel.

Cette évolution correspondrait à un double objectif:

-égalité des chances ( démocratisation de l’enseignement)

-élever le niveau général de qualification des jeunes pour gagner en productivité et en compétitivité.

En France, la massification de l’enseignement a pris la forme d’une démocratisation ségrégative c’est à dire que l’accès aux études reste dépendant de variable sociologique tel que:

• le milieu social
• l’environnement économique ou la localisation géographique

De plus, le choix du type d’études et des filières concernés restent très dépendant de l’origine sociale, par exemple il y a 12 fois + d’enfant de cadre dans les écoles de commerce que d’enfant d’ouvrier. Les inégalités se cumulent tout au long de la scolarité et elles amplifient à chaque étapes de la sélection

II/ Les inégalités de réussite scolaire

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